Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/142

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Sachant les heures où je ne courais pas le risque d’être interrompu par aucun de mes amis, je ne négligeai pas la superbe Nichols ; je la fis venir, elle et sa nièce Anne, pendant une heure et demie, et je les foutis toutes deux avec ravissement. Je les avais aussi initiées aux plaisirs du cul, pour lequel elles prirent toutes deux un goût très prononcé. Voyant cela, je leur décrivis les jouissances exquises de la double introduction de deux pines d’hommes, remplissant en même temps les deux ouvertures.

Quand une fois j’eus excité leurs désirs sur ce point, je leur parlai de mon cher ami Mac Callum More comme d’un homme à qui on pouvait se fier et, après quelques petites hésitations, j’obtins la permission de le leur présenter. Je lui avais auparavant expliqué l’affaire ; je lui avais dit qu’il trouverait peut-être la Nichols un peu vieille, mais qu’elle avait un corps magnifique et extraordinairement bien conservé ; son corps avait vingt ans de moins que sa figure et que sa lubricité et son amour pour la fouterie la rendaient supérieure à n’importe quelle femme de vingt-cinq ans. Je lui insinuai, en outre, qu’il devait essayer de persuader à Anne ainsi qu’à sa sœur Jane de se joindre à nos orgies à la taverne du Lion.

Nous nous rencontrâmes un certain matin convenu d’avance. J’avais averti Mac Callum de venir en avance et, quand les femmes seraient arrivées, sous prétexte que mon ami ne pouvait pas venir, je les ferais mettre complètement nues et, quand