Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/185

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Je la gamahuchai d’abord ; son clitoris était bien dessiné et raide. Ses tétons étaient superbes et se tenaient fermes et bien séparés, sa figure était charmante et aimable avec de jolis yeux bleus, pleins des éclairs de luxure ; ses lèvres rouges et humides invitaient aux baisers.

Nous nous amusâmes aux délicieux préliminaires ; elle regarda bien longtemps ma pine, déclara qu’elle croyait qu’on ne pouvait pas en avoir une plus grosse que son mari, mais elle admit que la mienne était plus longue et plus grosse. Elle en suça la tête. S’étendant alors sur le sofa, elle me fit coucher sur son ventre, car elle aimait à commencer dans cette pose. Je montai sur elle, enfonçai graduellement ma pine jusqu’à la rencontre de nos poils, alors lui faisant alternativement langue fourrée ou lui suçant le bout de ses superbes tétons, je tirai un coup des plus délicieux, la faisant décharger trois fois et moi une seule fois.

L’autre couple, également occupé, avait fini de tirer leur coup avant nous et était en train de prendre la position dans laquelle nous avions déjà foutu nos femmes respectives.

Nous aussi nous prîmes la même position, et vraiment le joli cul de ma fouteuse, sa taille naturellement fine, qui se voyait dans la perfection dans cette attitude, ses magnifiques épaules comme on n’en pouvait pas voir de plus belles, tout cela était des plus tentateurs et des plus excitants. Je m’enfonçai d’un seul coup très vigoureux dans son con humide, et par la seule violence de mon