Page:Lemonnier - Félicien Rops, l’homme et l’artiste.djvu/63

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lisme adroit et concerté. Les deux Enterrements eurent donc ainsi un air de cousinage et à la fois différèrent, comme venus des bouts opposés de l’art et de la race. C’est que l’un, le belge, dans un art composé d’arrangeur, poussait tout au type avec ce sens de l’exagération à propos qui signale les caractéristes et que le franc-comtois ne s’était mis en frais que de peindre ce qu’il avait sous les yeux. On y gagna deux chefs-d’œuvre qui demeurent comme deux « classiques » de l’époque. Combien il eût été intéressant de savoir le jugement du gros homme sur celui qui n’était pas encore le « tant bizarre M. Rops, haut comme la pyramide de Chéops », dont Baudelaire propagea le renom !

L’artiste, un peu plus tard, refit en dimensions plus grandes, presque