Page:L’Enfant du plaisir, ou les délices de la jouissance, 1803.djvu/65

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
( 53 )


nos amoureux ébats. Ah ! déjà son sein charmant s’offre à nos yeux avides de beauté ; ses jupes retroussées le plus haut possible nous laissent voir des trésors que je ne connaissais que trop imparfaitement ; ils sont l’objet de nos baisers de flammes. Constance et Lucas lui écartaient les genoux et tour à tour nous imprimons nos lèvres sur ses appas délicieux ; son ventre, ses cuisses de satin et sa coquille de roses bondée d’un poil couleur d’ébène nous électrisent par leurs attraits, chacun de nous y porte le doigt et la langue pour en sentir l’ardeur brûlante. Constance la tribade, la lubrique Constance nous repousse Lucas et moi ; elle se place sur Lisette et l’excite encore au plaisir ; cette posture nous fait trouver derrière elle ; nous relevons ses vêtemens ; ainsi baissée, sa croupe rebondie et ses fesses d’ivoire animent nos regards amoureux ; Lucas

5.