Cette page a été validée par deux contributeurs.
Je n’aurais cependant jamais parlé de ces études, malgré le bruit qu’elles ont soulevé, si on ne venait de m’apporter une revue où je lis à ce sujet les lignes suivantes, sous une signature qui m’est totalement inconnue :
« Il (M. Du Camp) évoque la figure étrange, maladive, de ce Gustave Flaubert, l’homme d’un seul livre, ou plutôt de deux livres, dont l’atroce souffrance explique l’énorme orgueil, la vanité colère, les bizarreries agaçantes. »
« Ce Gustave Flaubert ! » — Il paraît que l’illustre auteur de cet article a le droit de mépriser ce romancier de peu.