Page:Mélandri - Les Farfadets, conte breton.djvu/12

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À peine les voyait-on passer en tumultueuses chevauchées, comme un nuage d’or et de fer, lorsqu’ils allaient guerroyer contre ceux de Normandie, ou quand ils déployaient leur bannière pour rompre quelques lances en l’honneur des dames au clair visage.


« les korrigans nos amis se sont esjouis en ce pré. »