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<lo 1900 [Paris), il exposa un cadro .io pierres rtnes, contona l en re autres : le l’ortyuil de Sad. Carnol. inta lie sardoine ; U ;;h’, inlaille onyx ; Masf/ue de A/Muse, cam.’o monté on orlevrcne ; plusieurs portraits ; l’Amour ; .,j,„phe, etc. hn outre, ,1 offrait un choix <lo 29 plaquettes ou médailles, parmi lesquelles YIJomn.a.jc Lxr«„eu," /■-«np«M ravissante plaquette qui appartiom à la Monnaie ; / Histoire enreumre les découi-erles de UrcMoloni, ; nlanuotto acquise par IKiat, etc. Un choix des œuvres do Loclievrel se voit au musée du Luxembourg tCoiisultiitio ) mimUc sur sardoine. au musée des Arts décoratifs, et enlin au musée do niotel des monnaies et médailles 11 a e.pi)si ; aux Salons annuels depuis 1873. LÉCITHOPHORE (du gr. /<-/>-,MoJ, jaune dœuf, elphoros, qui porto) adj. Biol. iNoni donné par E. Van Beneden aux cellules endoderiniques de l’cmbrj ou des mammifères.

  • Leckv (William l’Mward Hartpoole), historien et moraliste

ang ais, né à Dublin en 1838. — Il est mort à Londres en i !)03. 11 s était consacré exclusivement à Ihistoire et à a philosophie morale. Il publie, en 1861, sous le voile de I anonymat, the Leaders uf /.ubtic opinion in Jreland, où il passe en revue, dans une série d’études brillantes, Swift Hood,GrattanetOCQnnell.Quelqucsannéesaprès,dansMe Historn of lie riseund in/luence of the spiril ofralionalism m Hiirope (1SC5), il mène à bien une vaste enquête sur les progrés do 1 esprit du libre examen dans les temps modernes. 1)0 mémo, son ouvrage suivant : the Historii of Enijland m the is"’ century (1878-1890), constitue plutùt tine apjireciation philosoplii<|uo des causes lointaines et des événements qui aboutissent à la Révolution française qu un récit proprement dit. Comme moraliste, il est l’auteur de the t/istori, of Kun.penn Morah from Aw/uslm Io Charlemugne {18ii9), qui se distinsue par son raisonnement impeccable et une prolonde érudition. La modération de ses juyenients porta Lccky i se déclarer contre le home ni(c irlandais au Parlement, où il représenta l’université de Dublin de 181.5 à 1903, et à exposer les faiblesses du railicalismo dans Democriwi/ iiiid Liberty (isue). 11 fut anpelé au conseil privé en 1897 et décore de l’ordre du Mérite, en 1902. En 1899, d fit paraître the Map of life : Condnctaud character où il traite des questions de morale pratique. Son style sobre et précis laisse une impression de force et convient admirablement au caractère presque scientifique de ses recherches. LECLAlRE(EJme-Jean), industriel français, né à Aisysur-Arinançon (Yonne) en 1801. mort à Herblay (Seiue-et-Oise ) en u 2. Leclaire se rendit à Paris à dix-sept ans. bans ressources, n ayant qu’une instruction rudimentaire U entra comme apprenti chez un peintre. Il s’établit à yingt-six ans et sut rapidement faire acquérir de l’importance à sa maison en outreprenant de grands travaux dans lesquels 11 réussit pleinement, tout en donnant à ses ouvriers des salaires plus élevés que ceux ordinairement payés dans sa corporation. Emu des souffrances pliysiiiues causées à ses ouvriers par le dangereux emploi de la céruse, Leclaire se ut chimiste et découvrit en 1841 la manière d’utiliser en peinture le blanc de zinc, substance inollensive Une médaille d’or de la Société pour l’encouragement de 1 industrie nationale, un prix Montyon récompensèrent cette découverte.

Leclaire eut ensuite le premier l’idée, qu’il mit avec succès en pratique, de la participation des ouvriers aux bénénces, et c est à cette dernière œuvre que son nom reste surtout attaché. En 1895. le conseil municipal de 1 ai’is a honore la mémoire de Jean Leclaire en donnant son nom ù une rue du XVII- arrondissement (Paris). Une statue, due au ciseau de Dalou, lui a été élevée, l’année suivante, sipiare des Kpinettes (Paris). Leclerc (Max), littérateur et éditeur français, né à 1 ans en 1804. Licencié en droit, lauréat de l’Ecole des sciences politiques il Ht des études supérieures à luiiivcrsito de Bonn (Allemagne) et en Angleterre. Rédacteur P,’='fo ?Ji,v ^’^° ".î ’"'^’='<^tion du . Journal des Débats «  (1888-189.t), charge de mission au Brésil (1889), aux Etais-Uiiis et en Angleterre (1890) ; correspondant parisien du « Journal do Genèvo ,. (1893-1894) ; secrétaire de la rédaction du . Bulletin de 1 office du travail . (1894-1896^ il devint un des directeurs de la maison d’édition Ajm’ànd Colin en 1900. U a publié : les Peuplade, de Madagascar (1887) ; une linwersilé allemande : deux semestres à Bonn («Revue française., déc. 1887 à févr. 1888) ; la Vie municipale en Prusse (1889) ; Lettres du Brésil [isoo) ; Choses d Amérique : les Crises économiques et religieuses au^ htats-Unis [çamoaaé par l’Académie française] (1891) ; le Itfe social des universités (1892) ; l’Education et la Société en Angleterre :l. f Education des classes moyennes et dirigeantes ;} !, les Professions et la Société [couronné par 1 Académie Irançaise] (1894) ; etc.

Leclercq (Julien), littérateur français, né à Armeniiures (^ord) en 1865, mort à Paris en 1901. S’étant rendu à Pans vers 1885, il s’adonna à la poésie, collabora au . Mercure de France «,o,1 il publia une pièce en troisactcs, a ie sensMe, puis lit paraître : les Strophes damants

!o, ’ T ni " ^'■’ '*■»" ^’ '" •’«'"«■Me contemporaine 

(1892) la / hysionomie. l-isages et caractères (1896), ouvrage écrit d après les principes d’Kugène Ledos. Il visita la Finlande, et organisa à l’étranger des expositions de peinture française. r » ">-

liECLERQ idom Henri), bénédictin et érudit français, lu ; a loiiriiai (Belgique) en 1869. Il suivit d’abord la carrière militaire, devint sous-lieutenant en 1893, puis quitta l’arnico et entra chez les bénédictins en ls95. Il résida à H arnborough Angleterre), monastère qui avait pour abbé dom Cabrol U entreprit avec celui-ci un grand recueil de docunients liturgiques, intitulé Momimenln Ecclesix litiiiijica, dont le premier volume parut en 1902, puis un Dictionnaire d archéologie chrétienne (t. I", 1903). On a aussi déco fécond Ir^ymWonr : les Martyrs (t. I"-VI, 1902-1906)-

! Afrique chrétienne (mi) ; fEspagne chrétienne (1905 

Manuel d archéologie chrétienne (2 vol. 1906). Enfin il a traco „’îh^rd°Helvîé^"^"^’"* ^^ aissertations VJiistoire des liE CORBEILLER (Jean-Maurice), auteur dramatique français ne à Bourg-la-Reine en 1859. Rédacteur au ■ Journal des Débats . de 13S6 à 1S92, il donna aussi-des articjcs au . Gaulois «, au . Figaro . et d’autres feuilles quoti.liennes, et publia dans la . Revue dramatique . (18 10) une éttide théorique et critique sur le Mélange des genres au théâtre qui fut remarquée. Il a donné au théâtre : {t. u-J"’,".’ ^tpropos pour l’anniversaire d’Alfred de Musset (Comédie-hraiiçaise, 1887) ; (a Hévérenee. pantomime, de P. Vidal (Bouires, 1889) ; le. Fourche, Caidine,, drame en un acte i théâtre Libre, 1891 j ; le Nid dautnJi i n ?."if’ m’ =""J,"’"'" ; ’,*’•'- " •■"’ «^’""•K’i ’Je l’organisation du . Musée du mobilier et de la décoration . à l’Exposition universelle do 1900 (Paris). .Membre actif de la Ugue de la Patrie française. Le Corbeiller a fait depuis 1899 do nombreuses conférences politiques. Il s’est présenté sans succès aux élections législatives do 1902 dans ■L’^."’ ?""*’ ;''"""’ ^’"y- "" =>"» élections municipales do 190i dans le quartier SainlrMerri.

Lecot (Victor-Lucien-Sulpico). cvéquo et cardinal français, no a Montcscourt (Aisne) en 1831. Après avoir lait ses études classiques au petit séminaire do Compiècrno et ses études théologiques au grand séminaire de Beauvais. Il lut nommé professeur au petit séminaire de Noyon (Oise). Durant la guerre do 1870, il fit campagne coinmo aumônier des mobiles de l’Oise. .Nommé curé de Saint-Antoine de Compiègno eu 1872, il fut promu en 1886 au siogc episcopal do Dijon et, en 1890, à l’archevêché de Bordeaux. Trois ans après, en 1893, il était créé cardinal. Lecouteux (Lionel-Aristide), graveur français, né au .Mans en 1847. Elève de Gauc herel, Luminais et Waltner Il obtint sa première récompense au Salon de 1879 avec son eau-forte Leidé (Douarneuczj. Ses gravures d’après an Marke : Epagneul et

chien de berger, les Ootlcleurs

de foin, d’ajirès Millet, Au pii-

turage, d’après Dupré, la llnr-

que de Don Juan, d’après De-

lacroix, achevèrent do fonder

sa réputation. Il s’est vu dé-

cerner la médaille d’honneur

en 1899 pour sa planche ma-

gistrale. Embarquement pour

Cylhère d’après W’atteau, et

le jury international de l’Ex-

position universelle de 1900

(Paris) récompensa d’un

grand prix l’ensemble de son

œuvre. Il est considéré comme

un des premiers aquafortistes

de notre époque.

IiÉCURIEUX iJacques-Jo-

sepli), peintre français, né à

Dijon en 1801, mort à Paris

en 1891. Elève de Devosge

"nJ,", ’^'■"•""■^ ;’ If/"’" au Salon de 1827 avec une rtésurrection de la fille de Jalre. Ses meilleures toiles dans le genre historique sont : Préparatifs du martyre de saint Bénigne, Saint Bernard allant fonder l’abbaye de Ltairvaux, Saint /■irmin, premier évéque dAmiens, œuvres acquises par 1 Etat et îionorées de récompenses par le jury. Ce peintre fertile s’est exercé dans le portrait avec succès : le Peintre Ducornet, Dentu, Germain Delavigne, etc.

  • ^nP*’*^*^ (/■’(•/«-Alexandre), physiologiste français,

ne à Plougastcl-Daoulas en 1869. — Il a publié encore : tes Limites du counaissable (1903) ; Traité de biologie nooî) ; les Influences ancesirales (1904) ; le. Lois naturelles (1904) ; la Lutte unirerselle {lioe}.

I£OIEN, ENNE (rfi-in, en’) adj. Se dit d’un étage géologique constituant le sommet de la série éocène de Belgique. (Cet étage, qui est notre bartonicn, est caractérisé par les sables de Ledc, près d’Alosi.)

— n. m. Cet éiage lui-même.

, ! ^™,9<lH°WSKI (Miocislas). prélat allemand, né à i.orki (1 olugue russe) en 1823.— Il est mort à Rome en 1902. IiE Doré (Ange-Marie), prêtre et religieux français, ne à Auray en 1834. Il entra dans la congrégation de Jësusct- .Mario, dite des eudistes, en 1854 "Prêtre en 1858, il devint directeur du noviciat de sa congrégation, puis protossour do théologie (1861-1869) et assista au concile du atican (1869-1870), comme secrétaire d’un des Pères du concile. Elu supérieur do sa congrégation en 1870, il résida à Redon (1870-1881), puis à Paris depuis 1881. Il a publié : fertus du vénérable Jean Eudes (1868) ; le Vénérable Jean Eudes, premier apôtre des Sacrés-Cœurs lisio) ; les Sacrés-Cœurs et le Vénérable Jean Eudes (lS9l) ; la Dévotion au Sacré-Cceur et le Vénérable Jean Eude, (1892). Lors des lois contre les congrégations, il prit vivement parti pour la résistance. On a de lui, à ce sujet : Simples observations sur un mémoire de M. Louchet (1895) ; A ttitwle passive des congrégations (1895) ; les Congréqations françaises et les /.OIS fiscales (1897) ; la Congrégation des eutl’istes devant le tribunal de la Seine (1904) ; la Persécution. Devoirs des catholiques (1905J. Orateur à l’accent volontairement familier, il a prêché de nombreuses stations et missions. Ledos (Eugène), physiognomoniste français, né et mort à Pans (1822-1904). Fils d’un graveur, il fut élève à I Ecolo des beaux-arts, et plusieurs églises de Normandie sont ornées de ses peintures. Plus tard, il fit lui-même tous les dessins qui illustrent ses livres. En 1.S60-1861, il donna à la • Gazette des campagnes « des articles météorologiques. En 1894, il publia un Traité de la physionomie humaine, où il établit son système personnel, et en 1903, le complément do son traité intitulé les Tqpes physionomiques associés et les Phénomènes psychiques. LEDOUXITE n. f. Arséniure naturel de cuivre.

  • ,^o’*""’î,’^"e*°'"'> orientaliste et littérateur français,

né à Sainte-Suzanne (Mavenne) en 1814. — Il faut noter I achèvement de la traduction de la Bible en dix volumes, d après les textes hébreu et grec et avec des études et des notes cntiques. Il a dirigé, avec Oppert et Heuzev, la . Revue d assynologie et d’archéologie orientale •,"ot a fourni .* 1 « Illustration ■ des articles do critique littéraire pénétrants et fins.

Lee (Sidney) , critique liitéraire anglais, né à Londres en 1859. Elevé à la- Ciiy of London School, puis au collège de Balliol à Oxford, il fut attaché à la rédaction du grand Diclionary of national Biography, comme assistant editor.de 1883 à 1890. Associé en 1890-1891 àLeslie Stephen, pour diriger cette importante publication, il en resta seul éditeur de 1891 à 1903. Entre temps, il donna des conférences sur la littérature anglaise à Trinity Collège (Cambridge, isOl-1902), au Lowell Institute de Boston, à l’nni-K de

c/ona

LÉCITHOPHORE - LEFÈVRE

introduction (1883-1885) la traduction d’/y.i..,, par lord Bernors, ) Autobiographie de l„r<i •< ""■*«"-/. qu il compléta (1886,, sa magistrale l AV ;;""/ : ’^' ;"*V’f'"’e. ■189«) et la Vie de Ta reme Vi (1902,. Ces deux dernir-rs livres ^•|.^o.|ui^.l,l u amplifications les .i :

avait écrits pour ;■

errcore. parmi [«^s ■

E„qlishmen of thf ’

à Straiford on Av-r

XjEEB (Jean), sculpteur allemand, né 4 Mcniininr.<.n en 1790, mort à .Munich en is-" ! I ! , ,,. i : , , i ?,r " ^ P et en Italie, où il reçut : ■ • ■ -n . • ., .■ i,,i, „ retour en Allemagne, il ;i

ses statues à Hylas. de I :-

fl^. f^ai^^’" '-’""’ *""" -iû le- jyi„u„,.^,i^ p.ifTMadu ;a ?u t^ ::^ :’i"t !i :^ !^ °"^=""’ '" Leefdael, comm. do Belgique (prov. de Brabant arrond, do Louvain,) ; 2.000 liab. ""*■"■. Leenhoff (Ferdinand), sculpteur hollandais, né 4 /alt-Bommol en 1811. Il reçut les leçons de Mezzara et débuta au Salon de 1859. Il obtint sa première récompense en 1809 avec un Guerrier au repos. Deux œuvres do bon style, £’c/,o et .Mercure, valurent à l’auteur des médailles d or aux Expositions universelles do 1889 et di- 1900 (Pans ; Il a longtemps séjourné en France et fréquemment exposé aux Salons annuels. Citons : Mater dolorosa Claudiu, Civilia, chef de, Bataves ; Bibli, changée en source, Persée, etc. L’artiste apprit la gravure en lailledouce avec François, dont il devint le gendre. I^ jury do la section de gravure, en 1878 et en 1882, honora de médailles les planches de Leenhoff : la Fuite de Loth. ■ !’ :., r. s Kubens ; le. Bon, Camarade,, d après Israels • Jeui.’ I et l Amour, d’ayrès Bouguereau. Ucnhoffaété prof, t . ur â I Académie des beaux arts d’Amsterdam. ,î’*^ ?i ’" ,<• -Allemagne (roy. de Prusse Tprésid. d Aunch]), dans la Fnse-Oricnlalc, sur Io Léda, un î "i r-n amont de son confluent avec l’Ems ; 11.470 hab. F.v de machines, fabrication de liqueurs, de savon, de ■. de cigares, brasserie, etc. Ch.-l. de cercle. Leernes, comm. de Belgique (prov. do Hainaot

arrond. de Charleroi .) , près de la Sauibre ; 2.000 hab.

LeeST, comm. do Belgique (prov. d’Anvers farrond. de Malines]), sur la Senne, affluent do la Dyle ; 1.550 hab. Le Faure (Georges), romancier et autour dramatique français, ne a Pans en 1858. Il fit son droit, du journalisme politique en province et de la critique littéraire i Pans. Le succès de son premier roman populaire en 1886 c décida à se consacrer tout à fait à cette branche do littérature. En vingt ans, U a publié plus de cent romans. où il mêle d’ordinaire à un récit sensationnel des notions de vulgarisation historique, géographique et scientifique, tels que le. Aventures d’un savant russe ; la Guerre s,.„s l eau ; Sidi Froussard ; Cœur de soldat ; le Brigadier Floridor ; etc. Il a aussi fait jouer, en collaboration avec Eug. Gugenlieim : Sainte Itussie, Jean la Cocarde (1902), l Epave (1903) et Au Dahomey.

LeféBURE (Albert-Léon), hommo politique et écrivain français, né à WinUenheim, près de Colmar, en 1836. Entré en 1865 comme auditeur au conseil d Etat, il fut envoyé en 1869 au Corps législatif par le collège électoral . de Colmar, et il s’y distingua dans la discussion des questions économiques. Il fit la campagne de Is7.> is-i dans les mobiles du Haut-Rliin, opta pour la nai ! :i ;v.-, et fut choisi pour représentant par le .- ., Seine, aux élections complémcniaires - :i. li siégea au centre droit, vota les lois co ._s et fut sous-secrétaire d’Eiat au ministère J ins le second cabinet de Broglie (1873-1874). C . ain et économiste, il a collaboré à la ■ Presse .. au . Temps •, à la « Revue conleniporainc », etc. Parmi ses ouvrages^ nous citerons : Uermangardi c.. :ir,. ;Mj,’n y.,, j-, , ; Etude sur l’économie rurale de / . ; -.itioD

avec Tisserand ; £’/u(/e 5i/r ■ igf

Questions vitales il&IG) ; la .’^ , _/,oré* de Stockholm (1880), en collaburatiùu avic F. Despurtes ; la ltenais,ance religieuse en France (1886) ; le Devoir social (1890) : De Vorgani,ation de la charité privée en France ;exc. Leféburo a été élu membre libre do l’Académie des sciences morales et politiques, en remplacement do A. Lefèvre-Pontalis (1903).

  • Lefebvre (Jules-Joseph), peintre français, né àTournon ,

.Seine-ci-Marne) en 1836. — Depuis 1902. il a exposé de nombreuses figures de femmes, traitées dans le stvle aimable et gracieux qui a fait sa réputation : Vestale ’endormie (1902) ; Uélia (1903) ; Carlotta (1901- ; Lady Godiva (1905) et la Xymphe Eglé au jardin de, Bespérides. LefEBVRE (Hippolyte), sculpteur ’r.nr^ais. né i Lille en 1863. Elève de Cavelier, il ol e en

1892, avec .4rf(i»/i cha.ssé du Para : ’6, il exposait avec succès le Pardon, s Dou-

leur, haut relief plâtre. Une Mi<i J en 1898 furent honorées d’une première - ;s le plus franc succès de Lefebvro a été ./ ■’*, groupe marbre (médaille d’honneur du Salou de l-’u2 . Ce groupe est au musée du Luxembourg. Depuis, on a vu du même artiste une cliarmauie figure, tEté, d’un style très moderne et élégant ^Salon de 1905) ; l’Èiver (1906). IjEPÈVRE (.uguste-.AIfred), marin français, né à Brest en 1828. Entre dans la marine en 1S45, enseigne en 1851, il travailla sous les ordres de Jurien de La Gravière, se distingua (1856) en coopérant au sauvetage des victimes du grand incendie qui dévora une partie de la ville do Macao, devint lieutenant de vaisseau en 1859, fut officier d’ordonnance de l’amiral Larrieu, qu’il assista pendant une partie de l’expédition du Mexique, et, promu capitaine de frégate en 1870, servit d’aide de camp à l’amiral Fourichon, qu’il suivit à Tonrs et à Bordeani, et plus tard