Page:Quinet - Œuvres complètes, Tome VIII, 1858.djvu/181

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Intérieur d’une ville des bords du Rhin.



Chœur d’Ouvriers dans la rue.

de forêt en forêt, toujours je marcherai.

le dernier jugement finira mon tourment.



Un Ouvrier.

Allons, la nuit s’avance. Viens te coucher, Fritz. Adieu la compagnie. Voici le veilleur qui descend de sa porte avec son bâton ferré.



Le Veilleur.

Messieurs, rentrez chez vous ; couvrez votre feu sous la cendre, pour qu’il n’arrive aucun malheur.



Chœur d’Ouvriers qui s’éloignent.

Le dernier jugement finira mon tourment.



Le Veilleur, seul au bord du Rhin.

J’ai vu le Rhône quand il descend des Alpe