Page:Rictus - Le Cœur populaire, 1914.djvu/27

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Mais quoi,… y n’a qu’ell’ sous la main !
Quiens, c’est-y pour son museau rose,
les pucell’s du faubourg Germain ?

Les cochons n’auront jamais d’ perles,
les cochons n’auront jamais d’ perles !
Faut’ d’ortolans on bouff’ des merles,
faut’ de brioche on s’ call’ du pain !

Pis y a pas… v’là la sèv’ qui monte ;
la Vie, a gronde en ses rognons ;
loufe, éperdu, rouge de honte,
l’Ovréier, le bon compagnon
s’ met à gémir… comme un entier

(La Nature est là qui exige,
elle aussi, a fait son métier !)