Page:Rictus - Les Soliloques du Pauvre, 1903, 5e éd.djvu/237

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Quand que la Lune est gross’dans l’ciel,
Les nuits d’Printemps a sont comm’blondes,
Et on dirait des bastions d’miel.

L’Hiver, l’Automne, on croirait voir,
Des châteaux de camphre ou d’ivoire,
Les nuits d’Eté au clair de Lune.
(Si on laiss’l’odeur d’choléra,
Qui vous vient du côté d’Bondy),
Ça fait un décor d’opéra.

Les Masons ? Y a qu’ça dans Paris
Y en a en pierr’s, en marbre, en briques,
En porcelaine ou en papier :

Les Masons