Page:Sand - Rose et Blanche ou la comédienne et la religieuse, Tome IV, 1831.djvu/125

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était intrépide devant toutes les fantastiques terreurs des couvens. Mais il y avait là plus qu’un danger imaginaire. Si c’était un voleur, elle ne pouvait faire un pas sans qu’il l’aperçût, et il pouvait l’assassiner pour l’empêcher de crier ; elle resta immobile, tremblante ; mais conservant toute sa présence d’esprit, elle le vit descendre avec précaution le long du mur.