Page:Stendhal - Vie de Rossini, Lévy, 1854.djvu/235

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de beaux chants, et non de la symphonie, fera du chef d’orchestre d’alors l’esclave soumis des chanteurs, quant au mouvement des morceaux. Quelque médiocre que soit le chanteur, quand il est en scène, tout doit lui obéir et le suivre, non pas assurément par déférence pour sa personne, mais par respect pour l’oreille du spectateur.