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IV


Le roman que j’ai lu ensuite était Bel-Ami. Bel-Ami est un livre très sale. L’auteur s’y donne évidemment libre carrière dans la description de ce qui l’attire. Il semble parfois abandonner son antipathie pour son héros et se met de son bord. Mais, dans l’ensemble, Bel-Ami, comme Une Vie, garde dans le fond une idée et un sentiment sérieux. La pensée fondamentale de Une Vie est la perplexité devant la cruauté stupide d’une vie de souffrance, d’une