Page:Verlaine - Œuvres complètes, Vanier, II.djvu/427

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Et maintenant, aux Fesses !
Je veux que tu confesses,
Muse, ces miens trésors
Pour quels — et tu t’y fies —
Je donnerais cent vies
Et, riche, tous mes ors
Avec un tas d’encors.

Mais avant la cantate
Que mes âme et prostate
Et mon sang en arrêt
Vont dire à la louange
De son cher Cul que l’ange,
Ô déchu ! saluerait,
Puis il l’adorerait,
 
Posons de lentes lèvres
Sur les délices mièvres