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conclusion.

Cornélia et lui devinrent gros propriétaires aux environs de Pontorson, avec de belles dots en perspective pour Sandre et Napoléone. Le comte Narkine, Jean, devenu son secrétaire, et Kayette, la plus heureuse des femmes, venaient les voir tous les ans, et s’ils étaient reçus avec ivresse !… Le mot est d’autant plus juste, que, ce jour-là, les gens de M. Cascabel y perdaient la raison.

Tel est le récit fidèle de ce voyage que l’on peut compter comme l’un des plus surprenants de la collection des Voyages extraordinaires. Évidemment, tout cela finit bien !… Et comment pourrait-il en être autrement, puisqu’il s’agit de cette honnête famille Cascabel !


fin de la deuxième et dernière partie.