Page:Verne - Le Château des Carpathes.djvu/147

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Ils s’étaient engagés entre les défilés…

« N’est-il pas vrai, Miriota ? ajouta-t-il, en interpellant sa fille, qui venait d’entrer dans la salle.

— Dieu veuille que cela soit, mon père ! » répondit Miriota d’une voix émue.

Franz fut charmé du gracieux salut que lui adressa la jeune fille. Et, la voyant encore inquiète de l’état de son fiancé, il se hâta de lui demander quelques explications à ce sujet.