let habere præcipuum Apostolica sedes, ut non pigeat revocare,
quod à se fortè deprehenderit fraude elicitum, non veritate
promeritum. Res plena æquitate, et laude digna, ut de
mendacio nemo lucretur, præsertim apud sanctam et summam
Sedem. Bern. ep. 180. [18e Pr. T. VII, p. 44 sq.].
p. 159. Il n'est donc point question du fait de Jansenius et je declare hautement à ces Escrivains qu'ils peuvent si bon leur semble faire croire à tout le monde, et publier par tout, comme ils ont desja fait hardiment par des écrits imprimez : Que les Propositions que le Pape a condamnées sont des propositions individuelles et singulieres contenuës mot pour mot TOTIDEM VERBIS dans le livre de Jansenius (P. Annat, Cavilli Jansen. c. 39.). Pour ce qui est de mon particulier je ne m'y oppose point : sçachant que comme ils ne peuvent les y mettre si elles n'y sont pas effectivement, je ne puis aussi les en oster si elles y sont... [p. 352].
[NICOLE]. — Pauli Irenæi Disquisitiones duæ ad præsentes ecclesiæ tumultus sedandos opportunæ. s. 1. 1657, 18 p. in-4¹.
(En tête se trouvent plusieurs pensées de S. Augustin et entr'autres celle-ci :)
Dicite nobis, ô vani, non defensores, sed inflatores liberi arbitrii ; dicite inquam nobis, si noluissent Gentes credere, justéque vivere, evacuaretur promissio quæ facta est ad Abraham ? Non, inquies. Ergo ut Abraham ob stipendium fidei consequeretur dilatationem seminis, præparata est Gentium voluntas à Domino; et ut vellent, QUOD ET NOLLE POTUISSENT, ab illo factum est, qui ea quæ promisit, potens est facere. Contra secundam Julian. Resp. lib. 2 [18e Pr. T. VII, p. 32].
DISQUISITIO PRIMA : An sint in Ecclesia novæ alicujus hæresis sectatores.
p. 6. ... Quin et ipse Molinistarum signifer Annatus in Cavill. p. 29. apertè confitetur, summum Pontificem id in quo
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1. Ces écrits sont contemporains de la dix-septième Provinciale, cf supra p. 318.
