Poésies de Benserade/Je languis dans les fers

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Poésies de Benserade, Texte établi par Octave UzanneLibrairie des bibliophiles (p. 41).

MADRIGAL.


Je languis dans les fers d’une jeune merveille,
Depuis que ses beautez ont surpris ma raison ;
Ô cruelle justice ! ô rigueur sans pareille !
Après qu’on m’a volé, on me met en prison.



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