Principes de la flute traversiere, ou flute d'Allemagne, de la flute à bec ou flute douce et du haut-bois, divisez par traitez/Traité de la flute à bec

La bibliothèque libre.
Traité de la flute à bec
Estienne Roger (p. 34-45).


TRAITÉ
DE LA FLUTE À BEC



CHAPITRE PREMIER.
De la ſituation de la Flute, & de la poſition des Mains.


LA FLUTE À BEC AYANT ſon merite & ſes Partiſans, ainſi que la Flute Traverſiere : j’ay cru qu’il ne ſeroit pas tout à fait inutile, d’en donner icy un petit Traité particulier.

Je commenceray par une explication de la maniere que l’on doit tenir la Flute, & de la ſituation où les mains doivent eſtre ; ce que l’on voit dêja repreſenté par la Figure cy-devant.

1. Il faut tenir la Flute droite devoit ſoy ; placer le bout d’en haut A, (appellé le Bec) entre les Levres, le moins avant que l’on pourra : Le bout d’en bas B, (appellé la Pate) doit eſtre environ à un pied de diſtance du corps ; enſorte que l’on puiſſe poſer les Mains deſſus la Flute, ſans les contraindre. Il ne faut point lever les Coudes, mais les laiſſer tomber negligemment proche du Corps.

2. On poſera la Main gauche C, en haut, & la droite D, en bas, comme on le voit demontré. Le pouce de la main gauche doit boucher le trou
qui eſt deſſous la Flute, & qui ſe trouve le plus élevé : je l’appelleray le premier trou ; celuy d’après le deuxiéme, & ainſi des autres en deſcendant. Le pouce de la Main droite, doit auſſi eſtre placé deſſous la Flute, vis-à-vis le Doigt du cinquiéme trou, ou un peu plus bas : Ce Doigt ne ſert qu’à ſoutenir la Flute. On doit, autant qu’on le peut tenir les Doigts droits ; principalement ceux de la Main d’en bas, & accoutumer peu à peu le petit Doigt de cette Main, à boucher le huitiéme trou : ce qui eſt un peu difficile dans les commencements. Il ne faut pas boucher les trous avec l’extremité des Doigts, mais il les faut avancer ſur la Flute, enſorte que le bout du Doigt paſſe le trou environ de trois ou quatre lignes. Le Doigt du milieu de chaque main étant plus long que les autres, on le pliera un peu, afin qu’il tombe plus juſte ſur le trou, & que l’on ait plus de facilité à boucher.



CHAPITRE II.
Explication de la premiere Planche ſus tous les Tons.


COmme je me ſerviray dans ce Traité d’une Tablature ſemblable à celle qu’on a pû voir dans le Traité de la Flute Traverſiere, il ſeroit ſuperflu d’en donner icy une ſeconde explication. Ceux donc qui voudront commencer par la Flute à Bec, parcourront le troiſiéme Chapitre du Traité dont je viens de parler. Ils pourront s’y Instruire ſuffiſamment de la connoissance de cette Tablature, aussi bien que des Notes de Muſique ; mais pour cela il ſera neceſſaire de changer quelques endroits des explications de ce même Chapitre, afin de les rendre tout à faits conformes à la Planche des Tons & ſemi-Tons de la Flute à Bec : Par exemple, on voit qu’il y a huit trous à la Flute à Bec, & qu’il n’y en a que ſept à la Flute Traverſiere. On voit auſſi que la premiere Note de la Flute à Bec eſt Fa, & que la premiere Note de la Flute Traverſiere eſt . On fera donc cette diſtinction en liſant ce troiſiéme Chapitre, & on dira (page cinquiéme, ligne neuviéme.) Cette Tablature eſt démontrée par les huit lignes paralelles, leſquelles repondent aux huit trous de la Flute, & un peu plus bas (ligne dixneuviéme.) Au deſſous de la premiere Note qui eſt le Fa, on voit huit Zeros noirs, ſur la ligne perpendiculaire, decrite par des petits points : Il eſt aiſé de comprendre que cela repréſente les huit trous de la Flute bouchez, les quatre premiers avec la Main d’en haut, & les quatre autres avec la Main d’en bas, ce qui fait ce Ton.

On ſuivra juſqu’aux lignes trente ſept, trente huit & trente neuf de la même page ; où l’on fera encore ce changement. Il n’y a que le pincé, qui en fait la difference.

On continuera juſqu’à la ligne treiſiéme de la page, ſixiéme où commence l’explication des Notes ; & où nous laiſſerons ce Chapitre pour reprendre celuy-cy.

On voit donc par la Tablature de la premiere Planche, que pour faire la Note F. ou Fa il faut boucher tous les trous. Il faut auſſi donner un coup de langue en ſouflant, comme je l’ay expliqué dans le troiſiéme Chapitre du Traité de la Flute Traverſiere ; mais la difficulté eſt de bien boucher ces huit trous, car pour peu qu’il ſe perde de vent, ce Ton ne ſe peut pas faire. Cette difficulté vient en partie du petit Doigt que l’on a beaucoup de peine dans les commencements à écarter des autres, pour boucher, le huitiéme trou. Il faudra donc commencer par le Sol, on y trouvera mieux ſon compte, & c’eſt auſſi ce qui eſt le plus en uſage. Cependant pour ſuivre les choſes par ordre je parleray du Fa Diézis ; Il ſe fait en débouchant la moitié du huitiéme trou, ſur les Flutes qui n’ont point ce trou double : mais ſur celles qui l’ont, on débouche le plus éloigné des deux trous, ce qui ſe fait en retirant le Doigt ſans le lever. Il faut obſerver de donner peu de vent aux Tons bas, & de l’augmenter peu à peu à meſure que l’on monte.

Le Sol naturel ſe forme, en débouchant le huitiéme trou tout à fait.

Le Sol Diézis ſe fait en débouchant la moitié du ſeptiéme trou : comme je l’ay expliqué, parlant du Fa Diézis ; ou s’il eſt double, le plus éloigné.

Le La naturel ſe forme, en débouchant le ſeptiéme trou tout à fait ſans rien remettre.

Le La Diézis ſe fait en débouchant le ſixiéme trou & rebouchant le ſeptiéme.

Le Si naturel ſe forme, en débouchant le cinquiéme trou, & bouchant tous les autres.

L’Ut naturel ſe fait, en débouchant le ſixiéme & le huitiéme trou, & en laiſſant le Doigt qui étoit déja ſur le ſeptiéme. Ce trou doit être preſque toûjours bouché comme on le voit par la Tablature. Il n’y a point de Diézis du Si à l’Ut, la raiſon eſt qu’il n’y a qu’un demi-Ton entre ces deux Notes ; c’eſt pourquoy on ſe ſert de l’Ut naturel pour faire le Si Diézis.

L’Ut Diézis ſe forme, en débouchant le quatriéme trou, & rebouchant le cinquiéme, & le ſixiéme.

Le naturel ſe fait, en débouchant le cinquiéme, & le ſixiéme trou ſans rien changer aux autres.

Le Ré Diézis ſe forme, en débouchant le troiſiéme trou, & en rebouchant le quatriéme & le cinquiéme.

Le Mi naturel ſe fait, en débouchant le quatriéme & le cinquiéme trou, ſans rien changer.

Le Fa naturel ſe forme, en débouchant le deuxiéme trou, & en rebouchant le troiſiéme ; ce trou doit rester preſque toûjours bouché. Il n’y a point de Diézis entre le Mi & le Fa, par la même raiſon que j’ay dêja expliquée touchant le Si & l’Ut. On ſe ſert donc du Fa naturel, pour faire le Mi Diézis.

Le Fa Diézis ſe fait, en débouchant le premier trou autrement le trou du pouce, & en rébouchant le deuxiéme trou.

Le Sol naturel ſe forme, en débouchant le deuxiéme trou ſans rien changer.

Le Sol Diézis ſe fait, en bouchant tous les trous, excepté le premier & le huitiéme.

Le La naturel ſe forme, en débouchant le ſeptiéme trou ſans rien changer. Il faut icy augmenter un peu le vent, afin de rendre le Son de la Flute aigu. On fait encore ce Ton en pinçant, c’eſt à dire en faiſant entrer l’ongle dans le trou du pouce, afin de le partager par la moitié : ce qui ſe pratique pour tous les Tons hauts, comme on le voit dans la Tablature par les Zeros à demi fermez.

Le La Diézis ſe fait en débouchant le ſixiéme trou & en rébouchant le ſeptiéme à moitié : il le faut pincer auſſi-bien que les Tons ſuivants.

Le Si naturel ſe forme, en débouchant le cinquiéme & le ſeptiéme trou, en rébouchant le ſixiéme.

L’Ut naturel ſe fait en débouchant le ſixiéme trou, ce qui fait lever toute la Main d’en bas.

L’Ut Diézis ſe forme, en débouchant le quatriéme trou, & en rébouchant le cinquiéme, il faut moderer le vent. Il y a quelques Flutes qui ont ce quatriéme trou double : alors on le débouche à moitié, & l’on ne bouche point le cinquiéme.

Le naturel ſe fait, en débouchant le quatriéme trou & en levant toute la Main d’en bas.

Le Ré Diézis ſe forme, en bouchant le ſixiéme, le ſeptiéme, & le huitiéme trou, ſans rien changer aux autres. On peut encore déboucher le huitiéme trou, ſur quelques Flutes.

Le Mi naturel ſe fait, en débouchant le ſeptiéme & le huitiéme trou, & en bouchant le cinquiéme & le ſixiéme ſans rien changer à la Main d’en haut.

Le Fa naturel ſe forme, en débouchant le troiſiéme trou, ſans rien changer. Il n’y a point de Fa Diézis en haut.

Le Sol ſe fait, en débouchant le troiſiéme, & le ſixiéme trou, & en bouchant tous les autres ; Il faut donner le vent aigu.

Lorſque l’on aura parcouru tous ces Tons ; je ſuppoſe que l’on connoîtra aſſez la Tablature, pour parcourir ceux qui reſtent, qui ſont les Bemols. On le fera d’autant plus facilement qu’ils rapportent tous aux Diézis, comme on le verra par la Tablature, excepté que ce qui ſert de Diézis à une Note, ſert de Bemol à l’autre ; ce que j’ay dêja expliqué au Chapitre cinquiéme du Traité de la Flute Traverſiere. Je n’en donneray donc point d’autre explication ; & je parleray ſeulement du Mi Diézis tout en bas que je n’ay point démontré dans la Tablature, parceque ce n’eſt autre choſe que le Fa naturel, ainsi que je l’ay remarqué touchant celuy d’en haut ; J’avertis auſſi les Commençants de ne s’attacher d’abord qu’aux Tons naturels diſtinguez par des Notes blanches, pour éviter une trop grande difficulté.



CHAPITRE III.
Explication des Cadences.


APrès que l’on aura appris à connoître les Tons naturels, on pourra apprendre à faire les Cadences ſur ces mêmes Tons ; & pour cela on parcourra le quatriéme de le ſixiéme Chapitre du Traité de la Flute Traverſiere, dans leſquels on trouvera une ample explication ſur les Cadences, laquelle ſervira d’inſtruction pour celles de la Flute à Bec, démontrées dans la ſeconde Planche cy-après. Je ne traiteray donc dans ce Chapitre que de quelques Cadences en particulier, ce qui ſuffira pour l’intelligence de toutes en général ; Je commenceray par la Cadence du Fa naturel en bas, qui eſt la premiére de la même Planche ; On voit par la Tablature que le huitiéme trou eſt débouché pour commencer cette Cadence, & doit enſuite être bouché pour la finir. On a vû dans le Traité de la Flute Traverſiere qu’il faut frapper pluſieurs fois, en bouchant le trou ſur lequel ſe termine la Cadence : on obſervera donc de faire la même choſe ſur toutes les autres.

Le Fa Diézis ſe tremble comme le Fa naturel, excepté que l’on ne bouche que la moitié du huitiéme trou en tremblant. Si le trou eſt double on tremble ſur le plus proche des deux trous, ce qui ſe fait en retirant le Doigt.

La Cadence du Fa Diézis, priſe du Sol Diézis ſe fait, en débouchant d’abord la moitié du ſeptiéme trou, en bouchant la moitié du huitiéme, ſans rien changer, & en tremblant ſur le ſeptiéme trou plein ; Ces trois mouvements ſe doivent faire l’un après l’autre, & d’un ſeul coup de langue ; mais cette Cadence eſt peu uſitée.

Celle du Fa naturel priſe du Sol Bemol, ſe fait en débouchant d’abord la moitié du huitiéme trou, & en tremblant ſur le même trou plein ; Cette Cadence ſert aussi pour le Mi Diézis.

L’explication de ces quatre Cadences doit ſuffire pour donner l’intelligence de toutes les autres, avec le ſecours de la Tablature. Je ne parleray plus que de celle du Sol naturel de la premiére Octave, (Note quinziéme), parcequ’elle ſe fait d’une maniere differente des autres. On la prepare du La, mais en ne bouchant que le troiſiéme, le quatriéme, le cinquiéme & le ſixiéme trou, enſuite dequoy on tremble ſur le quatriéme qui doit reſter débouché pour finir ; Cela eſt démontré par l’O ouvert, ſur lequel eſt placé le trait friſé. Il y en a encore d’autres de la même eſpece : & aussi quelques-unes qui ſe ſont de deux Doigts à la fois, ce que l’on verra démontré dans la Tablature par deux traits friſez, appliquez ſur deux Zeros l’un au deſſus de l’autre.

Il ne nous reſte plus qu’à parler des Flatements, & des Battements, dont on trouvera une explication dans le Chapitre ſuivant. A l’égard des coups de Langue, des Coulez, Ports-de-voix, Accents, &c. on lira le Chapitre huitiéme du Traité de la Flute Traverſiere où ils ſont expliquez aſſez amplement.



CHAPITRE IV.
Des Flattements, & des Battements.


J’Ay expliqué au Chapitre neuviéme du Traité de la Flute Traverſiere, ce que c’eſt que le Flattement & le Battement, & la maniere de faire l’un & l’autre. On pourra donc lire le commencement de ce Chapitre avant de lire celuy-cy, après quoy l’on verra l’explication ſuivante ſur la maniere d’en appliquer les préceptes à la Flute à Bec.

Pour commencer par le Flattement du Fa naturel, (ſuivant toûjours l’ordre de la premiere Planche,) on ne le peut faire qu’en ébranlant la Flute avec la Main d’en bas : ainſi que je l’ay expliqué ſur le premier Ton de la Flute Traverſiere, Il en eſt de même du Fa Diézis, ou Sol Bemol. On ne peut point faire de Battement ſur ces Tons.

Les Flatements du Sol naturel, du Sol Diézis & du La Bemol, ſe font ſur le bord du huitieme trou. Les Battements des mêmes Tons ſe font ſur le même trou plein.

Le Flattement du La naturel ſe fait ſur le bord du ſeptieme trou. Le Battement ſur le même trou plein.

Le Flattement du La Diézis ou Si Bemol, ſe forme ſur le bord du ſixiéme trou ; Il ſe peut faire auſſi ſur le huitiéme. Le Battement ſe fait ſur le ſixiéme trou plein.

Le Flattement du Si naturel ſe forme ſur le bord du cinquiéme trou. Le battement ſur le même trou plein.

Le Flattement de l’Ut naturel ſe fait ſur la moitié du cinquiéme, ou du ſixiéme trou. Le Battement ſe forme ſur ce dernier trou plein : quand on joüe dans un Ton naturel, & ſur le cinquiéme, quand on joüe dans un Ton où le Si eſt Bemol.

Le Flattement de l’Ut Diézis, ou Ré Bemol ſe forme ſur le bord du quatriéme trou, & le Battement ſur le même trou.

Le Flattement du naturel ſe fait ſur le cinquiéme trou plein. Le Battement ſur le quatriéme, ou bien ſur le cinquiéme & ſixiéme, quand il eſt précedé d’un Port-de-voix Diézé.

Le Flattement du Ré Diézis ou Mi Bemol ſe forme ſur la moitié du ſixiéme trou. Le Battement ſur le même trou plein, ou ſur le troiſiéme quand il eſt précedé d’un Port-de-voix.

Le Flattement du Mi naturel ſe fait ſur le quatriéme trou. Le battement ſur le troiſiéme, ou ſur le quatriéme quand il eſt précedé d’un Ré Diézis.

Le Flattement du Fa naturel ſe forme ſur le cinquiéme trou plein, ou ſur la moitié du quatriéme. Le Battement ſur le deuxiéme ou ſur le quatriéme.

Le Flattement du Fa Diézis ou Sol Bemol ſe fait comme celuy du Fa naturel. Le Battement ſur le quatriéme trou plein ou ſur le premier, quand il eſt précedé d’un Port-de-voix.

Le Flattement du Sol naturel ſe forme ſur le quatriéme trou plein. Le Battement ſur le deuxiéme ou ſur le premier, quand il eſt precedé d’un Port-de-voix naturel.

Le Flattement du Sol Diézis ou La Bemol, ſe faít ſur la moitié du huitieme trou. Le Battement ſur le même trou, ou ſur le ſixiéme en débouchant le troiſiéme, & quelques fois auſſi le deuxieme. Alors il faut reboucher le trou en finiſſant, ce qui ne ſe pratique point dans les autres.

Le Flattement du La naturel ſe forme ſur le bord du ſeptiéme trou. Le Battement ſe fait ſur le même trou plein, mais quand il eſt précedé d’un Port-de-voix naturel, il ſe fait ſur le quatriéme trou, le premier & le deuxiéme débouché ; Il faut encore reboucher le trou en finiſſant.

Le Flattement du La Diézis ou Si Bemol, ſe fait ſur le bord du ſixiéme trou. Le Battement ſur le même trou plein.

Le Flattement du Si naturel, ſe forme ſur le bord du cinquiéme trou. Le Battement ſur le même trou plein.

Me Flattement de l’Ut naturel, ſe fait ſur le bord du cinquiéme ou du ſixiéme trou. Le Battement ſur l’un de ces deux trous plein.

Le Flattement de l’Ut Diézis ou Ré Bemol, ſe forme ſur le bord du sixiéme, ou du quatriéme trou. Le Battement ſur le quatriéme trou plein.

Le Flattement du naturel ſe fait ſur le bord du cinquiéme trou. Le Battement ſur le quatriéme trou plein, ou ſur le cinquiéme quand il eſt précedé d’un Port-de-voix Diézé.

Le Flattement du Ré Diézis ou Mi Bemol, ſe forme ſur le bord du quatriéme trou. Le Battement ſur le même trou plein.

Le Flattement du Mi naturel ; ſe fait ſur la moitié du ſeptiéme trou. Le Battement ſur le même trou plein, ou ſur le cinquiéme & ſixiéme en même temps : quand il eſt précedé d’un Port-de-voix naturel.

Le Flattement du Fa, ſe forme ſur le ſeptiéme trou plein. Le Battement ſur le troiſiéme.

Le Flattement du Sol ſe fait ſur le ſixiéme trou. Le Battement ſur le même.


Fin du Traité de la Flute à bec.