Quatre beaux yeux
Apparence
La Chanson française du XVe au XXe siècle, Texte établi par Jean Gillequin, La Renaissance du livre, (p. 113).
QUATRE BEAUX YEUX…
Quatre beaux yeux m’ont su charmer,
Ah ! mon mal ne vient que d’aimer.
Deux sœurs que je n’ose nommer[1]
Me tournent la cervelle.
Ah ! mon mal ne vient que d’aimer :
Mais je ne sais laquelle.
Fontenelle
- ↑ Les demoiselles Loyson, dont il est question dans la chanson précédente.