Orig. autographe. — B. R. Fonds Béthune, Ms. 8828, fol. 35 recto.
Cop. — B. R. Suppl. fr. Ms. 1009-4.
Mon Cousin, Je vous envoyeray mercredy la Divetiere, que j’ay mené à Roquelaure, afin de luy dire ce qu’il aura à faire. Je me trouve offensé du faict de St-Serdos[1], prés le Mas, car il n’y a apparence de faire ces entreprises, par ceulx de Tholose, en mon gouvernement. À Auvilla[2], ils ont encores mis garnison lorsque je partis d’Estafort. Je vous prie, mon Cousin, tenir la main à ce que je sois payé de ma pension de l’année passée et de la composition de Perigueux ou de quelque bonne partie, afin de m’ayder du mien à faire mon voyage. Faictes, je vous prie, estat fort assuré de
Vostre bien affectionné cousin et parfaict amy,