Revue des Romans/Jules Janin

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Revue des Romans.
Recueil d’analyses raisonnées des productions remarquables des plus célèbres romanciers français et étrangers.
Contenant 1100 analyses raisonnées, faisant connaître avec assez d’étendue pour en donner une idée exacte, le sujet, les personnages, l’intrigue et le dénoûment de chaque roman.
1839
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JANIN (Jules), né à Saint-Étienne.


L’ÂNE MORT ET LA FEMME GUILLOTINÉE, 2 vol. in-12, 1832. — Ce roman appartient à ce genre de livres qui, lorsque toutes les émotions simples et naturelles sont ou semblent être épuisées, cherchent à émouvoir, en désespoir de cause, avec des passions étranges, des aventures bizarres, des scènes horribles. L’auteur n’est pas dupe de toutes les horreurs qu’il invente ; il semble s’être dit, dans une boutade de mauvaise humeur satirique : Vous voulez de l’horrible, messieurs ? parbleu, vous en aurez ! Et, de fait, il ne l’a pas épargné. Aussi, à prendre ce livre pour une satire composée pour discréditer les romans horribles, jamais satire ne fut plus gaie, plus ingénieuse ; jamais les défauts d’un genre ne furent plus fidèlement imités, plus spirituellement exagérés pour les faire ressortir. Voyez la scène du charpentier qui construit la guillotine : c’est dans un jardin planté de fleurs ; la jeune fille qu’il aime vient le voir ; il veut lui prendre un baiser, que fait-il ? Il lui explique le jeu de la terrible machine, et, comme elle ne comprend pas, il lui fait prendre en jouant la position du patient ; alors ses mains ne peuvent plus repousser le jeune homme, et il prend le baiser qu’il voulait. Nous citons cette scène à dessein, parce qu’elle nous semble heureusement inventée pour faire la critique d’un des défauts les plus communs de la littérature frénétique. Cette littérature, qui aime à mêler le gracieux et l’horrible, place quelque chose de séduisant et de beau à côté des objets les plus dégoûtants, s’applaudissant beaucoup de faire naître de cette façon deux émotions contraires. L’auteur de l’Âne mort a finement parodié cette manie des contrastes dans sa scène du baiser à la guillotine ; il a senti que ces contrastes, qui plaisent lorsqu’ils arrivent naturellement, choquent toujours lorsqu’ils sont amenés avec une sorte d’industrie laborieuse. — Quoique l’intention du roman qui nous occupe soit, au fond, nous le pensons, moqueuse et satirique, cependant il est arrivé à l’auteur ce qui devait arriver à un jeune homme d’une imagination vive et brillante ; il a commencé certaines scènes en esprit de parodie ; puis à la fin il les a prises au sérieux. C’est une sorte d’inconséquence toute naturelle, et on doit savoir gré à l’auteur de s’y être abandonné. En effet, il y a dans le genre horrible des sources de beauté : le tout est de savoir y puiser avec sobriété, et de ne pas s’y jeter, comme on fait, à corps perdu. Voici un cimetière, un hôpital, une prison ; quel homme, s’il a de l’imagination, si sa pensée a de la force et de la vivacité, quel homme devra s’abstenir de peindre les scènes qui s’y rencontrent, les sentiments et les idées des hommes qui habitent ces tristes demeures ? Peignez, peignez donc hardiment, ne craignez pas l’horreur : seulement, votre tableau achevé, n’en recommencez pas un autre du même genre, ne nous traînez pas de l’hôpital à l’amphithéâtre de dissection et de là à ces coins de cimetière qui ne reçoivent jamais que des débris d’hommes, restes hideux du scalpel. On peut quelquefois, sans être prude ou bégueule, s’accommoder de l’horreur quand il le faut ; mais ce qu’on ne peut souffrir sans dégoût, c’est que l’horreur, qui autrefois dans les livres n’était que l’épisode, aujourd’hui fasse le fond et le sujet même ; c’était une exception, aujourd’hui c’est une règle ; elle faisait des pages, elle fait des volumes. Il est curieux de voir comment l’auteur de l’Âne mort flotte entre l’envie qu’il a de parodier et l’envie qu’il a aussi de prendre au sérieux ses inventions, allant tour à tour de la moquerie à l’imagination, tantôt exagérant à dessein, tantôt se laissant séduire par l’occasion de quelque scène terrible ou gracieuse, et la faisant de bonne foi et avec un rare talent, puis s’interrompant comme par réflexion, et revenant à la satire ; parfois il commence avec l’idée de faire une caricature, et il finit par faire un tableau : on dirait, chose singulière, qu’il est dupe du genre même dont il se moque. Cependant, malgré toute cette incertitude, il y a dans ce livre une originalité, un mouvement d’esprit, un mélange enfin de toutes choses, de grâces, de moquerie, d’horreurs, de bon sens, de folie, qui pique et qui réveille le lecteur.

Henriette est une jeune fille des champs. L’inconnu qui raconte son histoire, la rencontre dans une scène villageoise, dont le récit brille de naturel, de grâce, de sentiment. On voit, on sent l’impression que fait sur lui sa beauté vive, agaçante, hardie, légère, sa marche aérienne, sa course animée, ce sourire folâtre qui défiait le malheur, et pourtant quelque chose qui annonçait une bonne et bienveillante nature de jeune fille. Mais bientôt la vie de l’infortunée jeune fille est flétrie pour jamais. Quand l’inconnu retrouve Henriette, elle a changé d’état ; il la voit accourir auprès d’un cadavre sanglant, le contempler sans changer de couleur, et dire : « C’est lui ! » En effet, c’était un jeune étranger qui, pour elle, avait oublié son gothique manoir, son bel avenir, son nom que sa patrie ne prononce pas sans respect ; qui s’était tué pour elle ! C’est que lui aussi l’avait vue dans sa beauté virginale, et sous ces formes si pures il avait cru trouver une âme ! Elle ne dit pas autre chose que ces mots : « C’est lui ! » Froide et vaine, égoïste et ingrate, elle triomphait de se sentir affranchie d’un amour importun au prix de cette noble vie. L’inconnu ayant deviné la nature de l’âme de l’être auquel il s’était attaché, trouve l’occasion de laisser voir à Henriette toute sa pensée. Elle lui répond par un regard qui veut être méprisant, et qui n’est pas même colère. On le voit, cette Henriette charmante n’est que jeune, élégante et belle ; elle n’a que le prestige qui séduit et captive ; mais pour ce qui est de ce foyer brûlant des nobles émotions, des sentiments généreux, des affections chastes et pures, des dévouements poétiques, tout cela est mort en elle ; c’est la jeune fille sans délicatesse, sans reconnaissance, sans bonté, la jeune fille sans cœur. Le malheureux qui l’a aimée, le sait maintenant, et il l’aime encore. Il la suit à la trace des fautes dans lesquelles la coquetterie et la vanité la précipitent, au travers de scènes dont tout son être se révolte, et il l’aime encore. Il n’obtient d’elle ni une affection, ni un regard ; elle l’écraserait sous ses pas sans le prendre en pitié, et il l’aime toujours. Désenchanté, mais non affranchi, sa chaîne est seulement plus pesante, elle est glacée. Quelque chose de fatal, ce filtre qu’on ne peut ni nier, ni définir, le lie à cette destinée indigne de lui ; il éprouve que l’âme peut s’ouvrir au mépris sans se fermer à l’amour. C’est que dans la femme déchue il respecte l’ange qu’il rêva ; il ne prétend, il n’accepterait rien d’Henriette profanée ; et quand un éclair de colère, de passion, de vengeance, allumé en elle par l’orgueil irrité, l’a précipitée dans tout ce que l’infortune a d’abîmes, il se sent un moment libre et fier ; au moyen du crime, au moyen des cachots, elle est devenue inaccessible aux autres hommes. Il le croit, du moins ; mais cette dernière illusion lui sera effroyablement ravie. Encore un peu de temps et il sera vengé. Il est le seul qui l’ait aimée, le seul pour qui elle ait passé dans ce monde comme une étrangère. Vient le moment où elle aura pour lui ce qu’elle n’a eu pour aucun des hommes qui ont occupé sa vie, une émotion partie de l’âme. C’est quand sa dernière heure a sonné, quand elle cherche un regard ami au milieu des flots de peuple qui environnent la fatale charrette. Grâce à lui, cette femme si bien parée de jeunesse et d’attraits ne disparaît pas du nombre des vivants sans qu’une larme mouille la terre à laquelle elle est rendue. — Tout ce drame est d’une effrayante vérité. Ce ne sont pas des choses qu’on invente ; il faut les avoir trouvées dans la nature, dans son cœur, dans le désespoir. Aussi n’avons-nous pas été surpris de lire dans la préface de la seconde édition de ce livre, spirituel dialogue de l’auteur avec la critique, que cette dure déesse le prit en pitié quand elle sut tout ce que le romancier avait mêlé de lui à son atroce fable. « Sa pitié, dit-il, alla jusqu’aux larmes, quand elle sut que le moral de mon héroïne n’était peut-être qu’une triste réalité, et que mon livre était non-seulement une étude que j’avais voulu faire, mais encore les mémoires exacts de ma jeunesse que j’avais voulu écrire. »

NOUVEAUX CONTES FANTASTIQUES, 4 vol. in-12, 1833. — Le plus curieux, le plus intéressant de tous les contes de ce recueil est sans contredit la préface des Contes nouveaux, dans laquelle M. Jules Janin raconte sa vie.

À l’occasion des Souvenirs de jeunesse et des Souvenirs de la révolution de M. Charles Nodier, M. Jules Janin, en rendant justice au talent de l’auteur, laisse entrevoir fort clairement que la plupart des événements qui intéressent le plus dans ces souvenirs, sont l’œuvre de l’intarissable imagination de M. Nodier. Nous désirons, sans toutefois en rien croire, que la préface des Contes nouveaux ne soit pas une préface d’imagination. En tout cas, si non e vero bene trovato. Cette préface est sans contredit ce que M. Jules Janin a écrit de plus simple, de plus naïf et de plus touchant.

LE CHEMIN DE TRAVERSE, 2 vol. in-8, 1836. — Deux voyageurs partent d’Ampuy, petit village au bord du Rhône, où ils sont nés, où leur adolescence et les premiers jours de leur jeunesse se sont paisiblement écoulés, et prennent deux chemins différents ; l’un suit le grand chemin, route poudreuse, dévorée par le soleil, sans ombre, sans repos ; l’autre prend le chemin de traverse, bordé de saules, tapissé de gazon, doux et facile chemin qui conduit plus agréablement au but. Le voyageur du chemin de traverse, Prosper de Chavigny, le héros du roman, part le premier de son village, se dirige sur Paris, où il arrive pauvre, ingénu, ignorant, mais beau et plein d’ardeur, de force et de courage. La misère est le noviciat par lequel il passe ; mais bientôt un changement heureux s’opère dans son sort. Il rencontre à Paris un oncle riche, M. De la Bertenache, qui le recueille, le prend par la main, le conduit, et bientôt lui fait perdre une à une toutes ses grâces champêtres, toutes les superstitions villageoises ; lui enseigne comment on fait ouvrir devant soi, et à deux battants, les portes des salons aristocratiques ; donne à son neveu de l’or, d’élégants habits, des chevaux anglais et une légère voiture ; lui met l’épée à la main, et l’instruit dans l’art si facile de la séduction ; lui donne en un mot tout le brillant vernis de la bonne société ; et la belle société, qui se fermait devant l’ingénuité pauvre et rustique de Prosper, accueille avec empressement le gracieux, l’opulent, le brave et noble Prosper, qui se fait appeler M. le chevalier de Chavigny. — Le voyageur du droit chemin se nomme Christophe ; c’est un humble frère ignorantin, pauvre et savant jeune homme, à qui les séductions de la science ont fait trahir son vœu d’ignorance, et à qui les lettres de Prosper Chavigny, saisies par ses supérieurs ecclésiastiques, ont fait perdre sa place. Se trouvant ainsi sans état et sans ressources, il prend le chemin de Paris, le droit chemin, c’est-à-dire, la grande route, à pied comme un honnête pèlerin. Un jour, pendant le voyage, il est renversé par le cheval d’un jeune chasseur, blessé dangereusement, et recueilli par une belle et noble demoiselle, nièce du duc de Chabrillant. La grâce naturelle et modeste de ce jeune homme, ses rares qualités, son instruction et son esprit, le font prendre en amitié par la puissante famille de Chabrillant ; il vient à Paris avec ses protecteurs, qui lui ouvrent la belle porte du monde, et le mettent sur le droit chemin de la fortune. Ce personnage de Christophe est, dans le livre de M. Jules Janin, un portrait achevé. Toute l’histoire de ce pauvre magister, jusqu’à son voyage à Paris, sa vie paisible dans son village, sa science qu’il cache avec tant de soin, sa pauvreté, qu’il porte d’un si grand cœur, son humilité qui couvre un si fier courage, sa probité souffrante et affamée, tout cela est touché avec une finesse, avec une verve, avec une tempérance de style, avec une richesse et une variété de coloris fort remarquables. M. Jules Janin, qui a beaucoup écrit, n’a rien créé de plus parfait que Christophe. — Dans le monde qui le reçoit avec distinction et respect, Christophe retrouve son ami Chavigny, brillant d’un luxe équivoque, et n’ayant ni considération, ni consistance, qui comprend au premier coup d’œil quelle distance il y a entre lui et Christophe, et quel pas immense celui-ci a fait sur la grande route, tandis que lui s’est épuisé en stériles efforts sur le chemin de traverse. Alors il tente un dernier effort, un coup décisif. Il s’adresse d’abord au jeu, et la fortune lui sourit ; puis il part pour l’Italie, et en ramène la plus belle jeune fille qu’il ait trouvée parmi les belles jeunes femmes de ce pays. Il la présente dans le monde comme sa femme, et le monde est bientôt aux pieds de la belle Lætitia ; le monde, pour l’amour de Lætitia, se dévoue à la fortune de Chavigny ; il veut être riche, et le monde lui enseigne les secrets par lesquels on devient riche en un jour, les secrets d’État qui font mouvoir les fonds publics. Chavigny, dans cette voie de richesse, rencontre de nouveau Christophe, qui par son seul mérite et par sa seule probité est devenu, lui aussi, riche et titré ; il épouse Mlle  Louise de Chabrillant, et le duc l’institue l’héritier de sa fortune et de la pairie. En face de cet honorable et solide prospérité, Chavigny voit le vide honteux creusé autour du piédestal sur lequel il s’est élevé, et il en rougit ; il voit le rôle misérable qu’il a fait jouer à cette belle et chaste fille qui s’est dévouée pour se donner à lui, et il rougit encore. Alors il fait un retour sur lui-même. Il apprend à apprécier, à admirer cette femme qu’il a livrée si jeune, si vive, si imprudente, à la corruption du monde, et qui est restée chaste malgré la séduction des grands, et qui a aimé Prosper malgré lui-même. Il lui reste à se venger, à rendre au monde mépris pour mépris ; c’est ce qu’il fait en déclarant publiquement quel jeu il a joué, et combien le monde a été sa dupe en voulant l’avilir ; puis, renonçant aux grandeurs, il redevient honnête homme, épouse Lætitia, qui n’a pas cessé d’être aussi vertueuse que belle, et se retire avec elle au village d’Ampuy. — Le Chemin de traverse est un livre qui marquera dans notre époque littéraire, et qui mérite le succès qu’a obtenu, lors de son apparition, cette brillante production.

UN CŒUR POUR DEUX AMOURS, in-8, 1837. — Les jumeaux siamois, dont la curiosité parisienne s’est occupée pendant quelque temps, ont fourni à M. Jules Janin l’idée de ce livre. Ces deux frères, si étroitement unis, lui ont rappelé deux sœurs inséparables, que l’on nommait Ritta et Christina, ou plutôt Ritta-Christina. L’histoire de ces deux sœurs, racontée par l’auteur, est fort attachante. Ritta et Christina sont vendues après la faillite d’un saltimbanque, directeur de spectacle forain, qui avait abandonné à ses créanciers sa ménagerie, dont les deux jeunes filles faisaient partie. Un Espagnol, don Martin Scribler, acheta le phénomène, et il résolut de rendre heureux le double enfant qu’il avait acquis. Les deux noms de Ritta et Christina furent remplacés par les noms d’Anna et de Louise ; elles grandirent environnées de soins et de tendresse ; elles devinrent belles et charmantes. Louise était une fière et noble beauté, Anna une douce et ravissante jeune fille. Don Martin devint amoureux de Louise, Anna fut aimée par un jeune prince russe, et le cœur des deux sœurs se laissa toucher par ces deux amours. Quelle situation plus intéressante, plus dramatique ? Deux jeunes filles en une seule. Comment séparer ce que Dieu a uni ? Comment épouser Louise et Anna sans être bigame ? Un duel a lieu entre Martin et le jeune Russe ; don Martin est blessé, le Russe retourne dans son pays, et Anna tombe dans une mélancolie profonde ; elle a perdu ses amours, et sa vie s’en va. Louise n’a pas perdu celui qu’elle aime, Louise qui est heureuse, partage le sort de sa sœur ; l’une ne peut être malade sans que l’autre le soit aussi, toutes deux sont en proie à la même langueur, à la même agonie, et elles meurent ensemble.

LA CONFESSION, 2 vol. in-8, 1837. — Nous ne ferons pas l’analyse de ce roman, qu’il est assez difficile de comprendre. C’est un homme qui se marie, et qui, la première nuit de ses noces, oublie le nom de sa femme, et l’étrangle en croyant l’embrasser. Dans la soirée, la voyant danser, il en était devenu monstrueusement jaloux. Quand il l’a tuée, il en a des remords ; il ne pleure pas, mais il veut se confesser, et quand le confesseur est arrivé, il ne veut plus de lui. Enfin, des circonstances qu’on ne sait comment reproduire le mettent sur la voie d’un autre confesseur qu’il croit digne de recevoir son dépôt. Mais l’adresse de ce confesseur est un secret terrible ; pour se la procurer, il séduit une jeune fille qui la porte écrite et cachée dans son sein. La pauvre jeune fille cède à son amour ; mais il n’en veut qu’au billet qui contient l’adresse, et quand il a enlevé ce trésor à Juana, il la tient quitte du reste. Mandé par lui, le confesseur arrive, et le pénitent refuse encore de parler, on ne sait pourquoi. Il finit toutefois par se confesser, il en devient fou, et le roman s’arrête là. Ces deux volumes forment un livre dont le commencement est partout, le milieu partout, la fin partout, la raison nulle part. Ce n’est pas une action dramatique, ce n’est pas un roman de caractère, ce n’est pas un roman d’intrigue, on ne sait réellement ce que c’est.

Nous connaissons encore de cet auteur : Barnave, 4 vol. in-12, 1831. — Debureau, histoire du théâtre à quatre sous, in-8, 1832. — Contes fantastiques et Contes littéraires, 4 vol. in-12, 1832. — Le Fils du Rajah, in-12, 1834. — Hanwen le lettré, in-12, 1834. — Voyage de Victor Ogier en Orient, in-12, 1834. — L’Enfance et la jeunesse de Lysis, 2 vol. in-12, 1835. — Homère, ou la Poésie épique, in-12, 1835. — On attribue aussi à M. Jules Janin : L’Élysée-Bourbon, in-12, 1832.