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Sagesse (1902)
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Paul Verlaine
Sagesse
Volume I
Œuvres complètes
,
Vanier
,
1902
.
collection
Sagesse
Paul Verlaine
Vanier
1902
Paris
T
Volume I
Sagesse
Verlaine - Œuvres complètes, Vanier, I.djvu
Verlaine - Œuvres complètes, Vanier, I.djvu/7
429-430
SAGESSE
I.
Bon chevalier masqué qui chevauche en silence…
195
II.
J’avais peiné comme Sisyphe…
197
III.
Qu’en dis-tu, voyageur, des pays et des gares ?…
201
IV.
Malheureux ! Tous les dons, la gloire du baptême…
205
V.
Beauté des femmes, leur faiblesse, et ces mains pâles…
208
VI.
Ô vous, comme un qui boite au loin, Chagrins et Joies…
209
VII.
Les faux beaux jours ont lui tout le jour, ma pauvre âme…
210
VIII.
La vie humble aux travaux ennuyeux et faciles…
211
IX.
Sagesse d’un Louis Racine, je t’envie !…
212
X.
Non. Il fut gallican, ce siècle, et janséniste !…
213
XI.
Petits amis qui sûtes nous prouver…
214
XII.
Or, vous voici promus, petits amis…
217
XIII.
Prince mort en soldat à cause de la France…
220
XIV.
Vous reviendrez bientôt, les bras pleins de pardons…
222
XV.
On n’offense que Dieu qui seul pardonne. Mais…
224
XVI.
Écoutez la chanson bien douce…
226
XVII.
Les chères mains qui furent miennes…
228
XVIII.
Et j’ai revu l’enfant unique : il m’a semblé…
230
XIX.
Voix de l’Orgueil : un cri puissant comme d’un cor…
231
XX.
L’ennemi se déguise en l’Ennui…
233
XXI.
Va ton chemin sans plus t’inquiéter !…
234
XXII.
Pourquoi triste, ô mon âme…
236
XXIII.
Né l’enfant des grandes villes…
239
XXIV.
L’âme antique était rude et vaine…
241
I.
Ô mon Dieu, vous m’avez blessé d’amour
244
II.
Je ne veux plus aimer que ma mère Marie
247
III.
Vous êtes calme, vous voulez un vœu discret
249
IV.
Mon Dieu m’a dit : Mon fils, il faut m’aimer
251
I.
Désormais le Sage, puni
259
II.
Du fond du grabat
261
III.
L’espoir luit comme un brin de paille dans l’étable
268
IV.
Je suis venu, calme orphelin
269
V.
Un grand sommeil noir
271
VI.
Le ciel est par-dessus le toit
272
VII.
Je ne sais pourquoi
273
VIII.
Parfums, couleurs, systèmes, lois !
275
IX.
Le son du cor s’afflige vers les bois
276
X.
La tristesse, langueur du corps humain
277
XI.
La bise se rue à travers
278
XII.
Vous voilà, vous voilà, pauvres bonnes pensées !
279
XIII.
L’échelonnement des haies
281
XIV.
L’immensité de l’humanité
282
XV.
La mer est plus belle
283
XVI.
La « grande ville ». Un tas criard de pierres blanches
285
XVII.
Toutes les amours de la terre
286
XVIII.
Sainte Thérèse veut que la Pauvreté soit
288
XIX.
Parisien, mon frère à jamais étonné
289
XX.
C’est la fête du blé, c’est la fête du pain
292
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