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« Page:Vie de Lazarille de Tormès, 1886.djvu/13 » : différence entre les versions

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C’est que ce roman est l’Espagne même, l’Espagne du {{sc|xvi}}<sup><small>e</small></sup> siècle, de la grande époque des découvertes transatlantiques, des guerres européennes, de la concentration de toutes les forces nationales sous le sceptre du puissant empereur qui aspire à la domination universelle ; j’ajoute l’Espagne peinte dans ce qu’elle a de plus particulier, et surtout dans ses misères, ses vices et ses ridicules.
C’est que ce roman est l’Espagne même, l’Espagne du {{sc|xvi}}<sup><small>e</small></sup> siècle, de la grande époque des découvertes transatlantiques, des guerres européennes, de la concentration de toutes les forces nationales sous le sceptre du puissant empereur qui aspire à la domination universelle ; j’ajoute l’Espagne peinte dans ce qu’elle a de plus particulier, et surtout dans ses misères, ses vices et ses ridicules.


Les contemporains ne s’y sont pas trompés. Dans « l’histoire
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Version du 19 juillet 2011 à 20:15

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PRÉFACE
lettrine L
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Le petit livret paru vers la fin du règne de Charles-Quint, sous le titre de : La vie de Lazarille de Tormès, ses fortunes et adversités, est, après le Don Quichotte, l’œuvre la plus populaire et la plus répandue de la littérature espagnole.

C’est que ce roman est l’Espagne même, l’Espagne du xvie siècle, de la grande époque des découvertes transatlantiques, des guerres européennes, de la concentration de toutes les forces nationales sous le sceptre du puissant empereur qui aspire à la domination universelle ; j’ajoute l’Espagne peinte dans ce qu’elle a de plus particulier, et surtout dans ses misères, ses vices et ses ridicules.

Les contemporains ne s’y sont pas trompés. Dans « l’his-