« Page:Doyle - Sherlock Holmes triomphe.djvu/124 » : différence entre les versions
m maintenance |
|||
État de la page (Qualité des pages) | État de la page (Qualité des pages) | ||
- | + | Page corrigée | |
Contenu (par transclusion) : | Contenu (par transclusion) : | ||
Ligne 14 : | Ligne 14 : | ||
quand le jeune homme me saisit. Je l’avais |
quand le jeune homme me saisit. Je l’avais |
||
déjà vu dans la matinée et je lui avais demandé |
déjà vu dans la matinée et je lui avais demandé |
||
où habitait le professeur |
où habitait le professeur Coram, ignorant qu’il |
||
était son secrétaire. |
était son secrétaire. |
||
Pied de page (noinclude) : | Pied de page (noinclude) : | ||
Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
<references/> |
Version du 22 janvier 2012 à 12:31
agent secret. Ce fut votre second secrétaire, Serge, celui qui vous quitta si précipitamment. Il parvint à découvrir que les papiers étaient renfermés dans l’étagère du bureau et put prendre l’empreinte de la serrure, mais il ne voulut pas aller plus loin. Il me fournit cependant un plan de la maison et m’apprit que pendant la matinée le cabinet de travail était toujours inoccupé. Je pris mon courage à deux mains, et je vins dans le but de reprendre ces papiers. J’ai réussi, mais à quel prix !
Je venais de les prendre et je refermais l’étagère quand le jeune homme me saisit. Je l’avais déjà vu dans la matinée et je lui avais demandé où habitait le professeur Coram, ignorant qu’il était son secrétaire.
— C’est bien cela ! dit Holmes. Le secrétaire à son retour a parlé à celui-ci de la femme qu’il avait rencontrée, et ses dernières paroles faisaient allusion à celle qu’il avait vue le matin même…
— Laissez-moi parler, dit la femme d’une voix brève (et son visage se contracta sous l’empire de la douleur). Quand il est tombé, je me suis enfuie et, me trompant de porte, je me