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Nous avons avancé comme règle invariable que, lorsqu’on soumet le cheval, pour les premières fois, à l’action du frein, il faut l’emboucher avec un mors de bride accompagné d’un filet. Ajoutons qu’on devra recourir aux effets de ce dernier dans les commencements de l’éducation du cheval, parce que sa puissance, moins grande que celle de la bride, a une action plus directe pour faire céder l’encolure à droite et à gauche. En effet, pour le ramener, le filet ne représente qu’un levier de 3<sup>e</sup> |
Nous avons avancé comme règle invariable que, lorsqu’on soumet le cheval, pour les premières fois, à l’action du frein, il faut l’emboucher avec un mors de bride accompagné d’un filet. Ajoutons qu’on devra recourir aux effets de ce dernier dans les commencements de l’éducation du cheval, parce que sa puissance, moins grande que celle de la bride, a une action plus directe pour faire céder l’encolure à droite et à gauche. En effet, pour le ramener, le filet ne représente qu’un levier de 3<sup>e</sup> |
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genre, tandis que le mors avec branches et gourmette est un levier de 2<sup>e</sup> genre. Pour le ramener et les mouvements rétrogrades du corps, la puissance du mors est supérieure à celle du filet ; mais pour les premiers déplacements de la tête du cheval et la répression de résistance venant du côté droit ou du côté gauche, l’usage du filet amènera des {{Tiret|résul|tats}} |
genre, tandis que le mors avec branches et gourmette est un levier de 2<sup>e</sup> genre. Pour le ramener et les mouvements rétrogrades du corps, la puissance du mors est supérieure à celle du filet ; mais pour les premiers déplacements de la tête du cheval et la répression de résistance venant du côté droit ou du côté gauche, l’usage du filet amènera des {{Tiret|résul|tats}} |
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Version du 23 mars 2016 à 22:36
VIII
EFFETS DE MAINS (RÊNES).
Nous avons avancé comme règle invariable que, lorsqu’on soumet le cheval, pour les premières fois, à l’action du frein, il faut l’emboucher avec un mors de bride accompagné d’un filet. Ajoutons qu’on devra recourir aux effets de ce dernier dans les commencements de l’éducation du cheval, parce que sa puissance, moins grande que celle de la bride, a une action plus directe pour faire céder l’encolure à droite et à gauche. En effet, pour le ramener, le filet ne représente qu’un levier de 3e genre, tandis que le mors avec branches et gourmette est un levier de 2e genre. Pour le ramener et les mouvements rétrogrades du corps, la puissance du mors est supérieure à celle du filet ; mais pour les premiers déplacements de la tête du cheval et la répression de résistance venant du côté droit ou du côté gauche, l’usage du filet amènera des résul-