Summis desiderantes affectibus

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Summis desiderantes affectibus
Brockhaus (p. 11).

Innocent, évêque, domestiques des domestiques de Dieu, annonce désirer avec l'ardeur suprême, en tant que sollicitude pastorale exige, que la foi catholique en nos jours partout se développe et s'épanouisse autant que possible, et que toute la dépravation hérétique soit mise loin des territoires du fidèle, nous déclarons librement et décrétons à nouveau ceci par lequel notre désir pieux peut être accompli, et, toutes les erreurs enracinées en dehors de notre dur travail comme avec la houe d'un travailleur sage, ardeur et dévotion à cette foi peut prendre à une prise plus profonde sur les cœurs des fidèles eux-mêmes. Il est récemment venu à nos oreilles, avec grande douleur, que dans certaines régions de l'Allemagne supérieure, ainsi que dans les provinces, les villes, les territoires, les régions et les diocèses de Mayence, de Cologne, de Trèves, de Salzbourg et de Brême, ainsi que des animaux de toutes sortes d'autres, vignobles, vergers, prairies, pâturages, maïs, blé, et toutes les autres céréales; ces misérables outre affligent les hommes et les femmes tourments, des bêtes de somme, généalogiques bêtes, ainsi comme des animaux de toutes sortes d'autres, avec des douleurs terribles et pitoyable et les maladies douloureuses, à la fois internes et externes; ils empêchent les hommes d'exécuter l'acte sexuel et les femmes de concevoir, mari qui ne peuvent pas connaître leurs femmes, ni les femmes à recevoir leurs maris ; au-delà de cela, ils blasphèment et renoncent à cette foi qui est la leur, de par le sacrement du baptême et à l'instigation de l'ennemi du genre humain, ils n'hésitent pas à commettre et commettent les plus immondes abominations, les plus sales et les excès du péril mortel de leurs propres âmes, par lequel ils outragent la Majesté divine et sont une cause de scandale et le danger pour un très grand nombre, les abominations et les énormités en question restent impunis non pas sans danger ouvert aux âmes de beaucoup et aux périls de la damnation éternelle que beaucoup de personnes des deux sexes, insouciantes de leur propre salut et abandonnant la foi catholique, donnent d'elles-mêmes par leurs incantations, sorts, conjurations et par d'autres superstitions/charmes et sortilèges abominables et l'artisanat et d'énormes infractions horribles, ont tué les bébés encore dans le ventre de la mère, ainsi que la progéniture du bétail, ont fustigé le produit de la terre, les raisins de la vigne, les fruits des arbres, aussi bien que les hommes et les femmes, des bétails et des bandes et des troupeaux et des animaux de chaque sorte, des vignes également et des vergers, des prés, des pâturages, des moissons, des grains et d'autres fruits de la terre ; qu'ils affligent et torturent avec de grandes douleurs et angoisse, internes et externes, ces hommes, femmes, bétail, bandes, troupeaux, et animaux et gênent des hommes pour engendrement et de femmes de la conception et empêchent toute la consommation de mariage ; cela, d'ailleurs, ils nient avec les lèvres sacrilèges de la foi. Ils sont reçus dans le baptême saint ; et cela, à l'instigation de l'ennemi de l'humanité, elles ne craignent pas de commettre et perpétrer beaucoup d'autres offenses et crimes abominables, au risque de leurs propres âmes, à l'insulte de la majesté divine et à l'exemple et au scandale pernicieux des multitudes. Et, bien que nos fils aimés Henricus Institoris et Jacobus Sprenger, de l'ordre des frères prédicateurs, professeurs de la théologie, ont été et sont délégués toujours par nos lettres apostoliques comme inquisiteurs des hérétiques, de l'ancien dans les régions susmentionnées de l'Allemagne supérieure, y compris les provinces, villes, territoires, diocèses et autres endroits comme ci-dessus et du dernier dans toutes/certaines parties du cours du Rhin ; néanmoins un certain nombre du clergé et de ces parties, cherche pour être sage au-dessus ce qui être adapté, parce que dans les dites lettres de députation susmentionnées, province, ville, diocèse, territoire et autre endroit et personne et offense en question être non individuel et spécifique appelées, sans obstination rougie pour affirmer que ceux-ci ne peuvent être du tout incluses dans les dites parties et que donc sont illicites pour les susmentionnés inquisiteurs pour exercer leur office de recherche dans les province, ville, diocèse, territoire et autre places susmentionnées et qu'elles ne doivent pas permettre de procéder aux punitions, emprisonnements et corrections des personnes susmentionnées pour les offenses et les crimes ci-dessus appelées. C'est pourquoi dans les provinces, les villes, les territoires de diocèses et les endroits susmentionnés de tels offenses et crimes, sans dommages évidents à leurs âmes et risque de salut éternel, ils disparaissent impunis. Nous donc, désirons, de même qu'il est de notre devoir, d'enlever tous les empêchements par lesquels de quelque façon lesdits inquisiteurs sont gênés dans l'exercice de leur fonction et empêcher les traces des hérétiques et autres comme des maux à écarter leur infection à la ruine d'autres qui sont innocents, l'ardeur de la religion nous poussant particulièrement, pour que les provinces, les villes, les diocèses, les territoires et les endroits susmentionnés dans lesdites régions de l'Allemagne supérieure ne puissent être privés du travail de la recherche qui est leur dû, décrétons par ceci, en vertu de notre pouvoir