Utilisateur:M-le-mot-dit/Brouillon

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regrettons de ne pouvoir la reproduire aujourd’hui ; nous en dédommagerons prochainement nos lecteurs[1].


N. B. La troisième argumentation de M. le baron Cuvier roulant comme la seconde sur les modifications de l’hyoïde, est du 5 avril 1830. Je ne la reproduis point dans cet opuscule ; je le ferai dans la livraison suivante.

En répondant le 29 à l’écrit du 22 mars, j’ai distingué la question générale de ses faits particuliers ; j’avais déjà traité celle-là dans ma première réplique ci-après, quand je me suis aperçu que des raisons de convenance morale (voyez l’exorde ci-contre) réclamaient l’interruption de notre discussion par plaidoiries verbales. Il me reste donc à traiter des faits particuliers ; et l’on a pu déjà voir, dans une note précédente, que le seul hyoïde classique des oiseaux formera la matière d’un Mémoire à part.

  1. On n’a point tenu cette promesse : on n’a donné d’extrait ni de ce mémoire, ni de ma lecture du 29 mars ; mais à l’occasion de celle ci, et dans le résumé d’une autre séance académique, on s’est fait l’auxiliaire du Système des différences, en ne voyant dans mes travaux que des considérations par trop abstraites, en montrant de la répugnance pour un principe philosophique, auquel il faudrait croire comme par sentiment, comme à une vérité révélée. D’autres feuilles publiques m’ont traité avec plus de faveur.