Discussion Page:Flaubert - Notes de voyages, I.djvu/30

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Teint[modifier]

Dernier paragraphe : « Teint » avec la majuscule. Coquille ? Faut-il le corriger ? Romain (d) 3 avril 2011 à 19:19 (UTC)[répondre]

Au sujet des coquilles, il est dit dans l'espace "Page" de la rubrique aide qu'il ne faut surtout pas moderniser le texte, à moins qu'il s'agisse, bien sûr, d'une coquille, ou bien d'une modernisation typographique. Je ne crois pas qu'à l'époque de Flaubert on mette une majuscule après 2 points, j'opterai pour une coquille effectivement, mais même dans le cas d'un choix délibéré, on peut se permettre de le corriger. --Galderon (d) 2 août 2012 à 13:00 (UTC)[répondre]
J'ajoute à mon propre commentaire un point, j'ai n'ai pas pensé à regardé les phrases précédentes, où les ":" sont nombreux. On n'y voit pas de majuscules par la suite en effet. Et franchement, je ne vois pas comment ce pourrait être autre chose qu'une coquille. --Galderon (d) 2 août 2012 à 13:11 (UTC)[répondre]
Oui, mais si ce sont des notes de voyages retranscrites telles quelles ? Marc (d) 2 août 2012 à 13:20 (UTC)[répondre]
Je rétablis l'original avec majuscule en validant : l'usage n'est pas fixé au xixe siècle et on trouve régulièrement chez Flaubert comme dans d'autres auteurs une majuscule après deux points, notamment quand la proposition qui suit peut être comprise comme une phrase indépendante ou une citation sans guillemets, mais pas seulement (faire une recherche dans Bouvard et Pécuchet/Texte entier vous en convaincra aisément). L'édition Conard suit assez bien la graphie des manuscrits des Notes de voyages, je propose de nous en tenir à cette version sans chercher à moderniser la typographie outre mesure. Contrairement à Galderon ci-dessus, je ne pense pas qu'il nous revienne de corriger des choix délibérés des auteurs et éditeurs que nous rééditons en ligne, tant que la lecture n'en est pas gênée, les choix typographiques étant parfois aussi mûrement réfléchis que des choix lexicaux ou syntactiques (surtout chez les poètes, voir les épreuves corrigées obsessionnellement par Baudelaire, mais aussi des auteurs comme Péguy dans leur prose aussi), ou donnant témoignage de pratiques certes révolues, mais dont les conventions ne sont pas forcément plus absurdes que celles qui dominent aujourd'hui. Susuman77 (d) 19 octobre 2023 à 23:58 (UTC)[répondre]