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Les Contrerimes
Paul-Jean Toulet
Les Contrerimes
(1921)
Édition Émile-Paul frères
,
1929
(
p.
153
-
160
).
book
Les Contrerimes
(1921)
Paul-Jean Toulet
Édition Émile-Paul frères
1929
Paris
V
Table alphabétique
Toulet - Les Contrerimes, 1929.djvu
Toulet - Les Contrerimes, 1929.djvu/7
153-160
TABLE ALPHABÉTIQUE
Admire des glaïeuls l’écarlate pointu
131
Agnès, pleurer ? Dit Charle. Oui, quand à Marly mouille
135
Ah, Curnonsky, non plus que l’aube
32
Ah, mon frère aux beaux yeux, ce n’est pas sans douceur
140
Aimez−vous le passé
98
Ainsi, ce chemin de nuage
56
À l’Alcazar neuf, où don Jayme
55
Alger, ville d’amour, où tant de nuits passées
136
À Londres je connus Bella
70
À Pau, les foires Saint−Martin
43
Arc vermeil, mais des arcs le plus lâche en sa corde
134
Au détour de la rue étroite
71
Augagneur va parler. France est à la campagne
134
Au mois d’aimer, au mois de Mai
91
Avril, dont l’odeur nous augure
7
Bayonne ! Un pas sous les Arceaux
54
Bénarès, dont le nom est rempli de parfums
128
Boulogne, où nous nous querellâmes
30
Boy, une pipe encor. Douce m’en soit l’aubaine
128
Brouillard de l’opium tout trempé d’indolence
129
Carthame chatoyant, cinabre
31
Ce fut par un soir de l’automne
45
Ce pavé que l’Europe foule
119
Ce qu’il fait, Z. a cru longtemps que c’est des vers
147
Ces arondes de jade, et l’or qui les emmanche
136
Ces moires dont Zéphire incline la prairie
139
Ces premiers froids que l’on réchauffe d’un sarment
108
Ces roses pour moi destinées
10
C’est Dimanche aujourd’hui. L’air est couleur du miel
152
C’est la R. H. Ellen De Northeambrie
133
C’était, dans les vapeurs du nard
67
C’était sur un chemin crayeux
73
Ce tapis que nous tissons comme
16
Cet huissier, qui jetait, l’été
36
Cette averse, Badoure, où ma langueur balance
131
Cette fraîcheur du soir, qu’on dirait que tamise
139
Chandelier toujours sans chandelle
114
Ciel ! Isadora Duncan
145
Circé des bois et d’un rivage
27
Comme à ce roi laconien
48
Comme je lui levais sa jupe, curieux
145
Comme les dieux gavant leur panse
35
« Contemple un autre monde » a chuchoté la fée
130
Dans Arle, où sont les Aliscams
89
Dans ce charnier d’amants qu’a dévorés la Chine
130
Dans la rue−des−Deux−Décadis
72
Dans la saison qu’Adonis fut blessé
92
Dans le lit vaste et dévasté
11
Dans le silencieux automne
14
Dans l’océan des nuits où l’œil plonge et s’enchante
149
Dans quelle Inde nouvelle, ou que ce soit demain
150
Décor d’encre. Sur le ciel terne
105
De faire amant ensemble, ah, c’est un doux barême
137
Derrière les deux tours qui gardent son manoir
150
Des bords du canal noir où tu quittas ton linge
142
Dessous la courtine mouillée
75
Dessous le flamboyant qui couvre l’herbe nue
140
De tout ce gala de province
49
Deux vrais amis vivaient au Monomotapa
141
Dormez, ami ; demain votre âme
84
Douce plage où naquit mon âme
60
D’une amitié passionnée
44
D’un noir éclair mêlés, il semble
25
Église de Saint−Augustin
112
Eh, jeûnes à ta faim d’aimer si le déboire
140
Eh quoi, le monde tourne, et mon bol, et ce livre
145
Elle est noire, c’est vrai. Corail ni jameroses
140
Embrassez-moi, petite fille
52
Enfin, puisque c’est Sa demeure
68
En l’an 1910 de phrases — et du Christ
137
En l’an 801 de Rome
102
En souvenir des grandes Indes
23
Esclave, mais non pas de l’homme, et qu’au matin
138
Est-ce moi qui pleurais ainsi
28
Étranger, je sens bon. Cueille−moi sans remords
151
Filippa, Faïs, Esclarmonde
90
Filles de la fumée, à qui l’aube décente
144
Géronte d’une autre Isabelle
26
Gloire aux victorieux. Mais, de celui qui tombe
151
Hélas, rien ne varie ; et quoi qu’on ait coutume
126
Heure céruléenne, et vous, regards couverts
135
Ici repose Henry de Bruchard ; si la cendre
151
Il m’en souvient : ta robe claire dans l’allée
142
Il n’est plus, ce jour bleu — ni ses blanches colombes
143
Il pleuvait. Les tristes étoiles
12
Industrieux fils de Dédale
117
Invisibles regards qu’on sait qui nous verront
129
Iris, à son brillant mouchoir
9
J’adore les magasins du passage Choiseul
134
J’ai beau trouver bien sympathique
63
J’ai connu dans Séville, une enfant brune et tendre
149
J’ai vu le Diable, l’autre nuit
64
Jardin qu’un dieu sans doute a posé sur les eaux
136
Je me rappelle un jour de l’été blanc, et l’heure
132
Je songe aux plats sucrés de ma vieille Detzine
147
La demoiselle, de vieillesse, est presque morte
147
La dure alcôve au bénarès est parfumée
130
La guirlande n’est plus, ni le brun violier
148
La mer étincelait ainsi qu’une gitane
135
L’amour n’est plus. Le jour viendra−t−il que j’oublie
128
La vie est plus vaine une image
86
Le bouc et la brebis enfantent le titire
148
Le coucou chante au bois qui dort
22
Le divin parfum de Chine emplissait la chambre
141
Le Mardi gras, ni toi, ni moi, nous n’étions gais
137
Le microbe : Botulinus
13
Le parc ruisselle encore, où l’averse a passé
149
Le sable où nos pas ont crié, l’or, ni la gloire
125
Le soleil se levait dans un ciel sans nuage
144
Le sonneur se suspend, s’élance
38
Les trois princes Pou, Lou et You
19
Le temps irrévocable a fui. L’heure s’achève
93
Le tournebroche à poids qui réglait la cuisine
148
L’hiver bat la vitre et le toit
18
L’immortelle, et l’œillet de mer
53
L’ombre, ni le mystère enchanté des fontaines
146
Longtemps si j’ai demeuré seul
94
Lorsque Timour partit avec sa femme en croupe
127
L’un vainqueur ou l’autre battu
116
Madame, qui l’eût dit que dans vos bras habite
132
Madame Récamier. Pour un sourire d’elle
139
Maman !… je voudrais qu’on en meure
29
Mère d’un seul amour, ô Vénus Uranie
143
Me rendras−tu, rivage basque
78
Molle rive dont le dessin
59
Mon chien s’appelait Tom, et ma chienne Djaly
144
Mopse, pour tous émoluments, longtemps vécut
138
Mopse prétend pécher contre l’Esprit : c’est être
127
Nane, as−tu gardé souvenir
111
Ne cherche pas l’amour en dehors de soi−même
147
Ne crains pas que le temps sçache les cieux briser
141
Non, ce taxi, quelle charrette
115
Nous bûmes tout le jour, un autre — et, le suivant
146
Nous fumâmes toute la nuit. Puis un boy vint
145
Nous jetâmes l’ancre, Madame
61
Nuit d’amour qui semblais fuir entre deux dimanches
152
Ô Diane, ô nuit pure où chante un rossignol
150
Ô femmes, dites−moi, dans la nuit qui passez
143
Ô jour qui meurs à songer d’elle
83
Ô mer, toi que je sens frémir
15
Ô nuit parmi les nuits de laque et de vermeil
130
Ô poète, à quoi bon chercher
34
On descendrait, si vous l’osiez
66
On dirait une main qui chiffonne un linceul
131
On rit, on se baise, on déjeune
139
Pâle matin de Février
77
Paradis d’ombre fraîche et de chaleur extrême
132
Plus souple à dénouer mes plis
81
Pour un cuino, se mettre à trois, ah c’est beaucoup
148
Pour une dame imaginaire
76
Presque une enfant encor, mais déjà grande et belle
133
Puisque tes jours ne t’ont laissé
122
Qu’Allard, sur la caricature
124
Quand l’âge, à me fondre en débris
85
Quand les os sont pareils à des roseaux légers
129
Quand nous fûmes hors des chemins
40
Que ce fut douce, hélas ; que c’est lointaine chose
126
Que je t’aime au temps chaud, la sœur et bientôt mûre
141
Quel pas sur le pavé boueux
50
Quelquefois, après des ébats polis
95
Qu’importe si l’automne a fané le séjour
128
Quoi, c’est vrai, tu m’aimas, qui de moi fus aimée
126
Quoi, nul amour encor ne t’enseigna ses veilles
131
Saïgon : entre un ciel d’escarboucle
62
Salut, Côte-Rotie, et toi, rouget trilibre
136
Satan, notre meg, a dit
100
Scarabée amoureux, qu’un enivrant délice
126
Si ta grande ombre, ô Moréas
113
Si tu savais encor te lever de bonne heure
107
Si vivre est un devoir, quand je l’aurai bâclé
152
Sous le ciel noir, j’entends les fruits tomber, Faustine
146
Sous le double ornement d’un nom mol ou sonore
150
Sous le soir jaune et vert nous ne reviendrons pas
137
Sous ta paupière bleue, Albe, ton regard d’or
142
Spongieux, panaché de bambous, triste, plat
144
Stendhal, si revenait ta blonde Chastellux
133
Sur la banquette en moleskine
17
Sur le canal Saint−Martin glisse
118
Sur l’océan couleur de fer
82
Tandis qu’à l’argile au flanc vert
41
Tant de travail, docteur, pour découvrir enfin
125
Tant pis si Boulenger m’attrape
121
Telle qu’étincelait sa gorge un soir de fête
146
Tel qui soula de sang ses rêves et son fer
127
Tel variait au jour changeant
39
Toi dont pendent les fleurs au rivage de Loire
135
Toi dont un tendre cœur, sous son ferme corsage
149
Toi, pour qui les dieux du mystère
80
Toi qu’empourprait l’âtre d’hiver
8
Toi qu’arment les pavots de leur sombre vertu
132
Toi qui blessas Vénus, ah, si Vénus te blesse
125
Toi qui fais rêver, ô brune
96
Tout ainsi que ces pommes
69
Toute allégresse a son défaut
79
Tout autour de la lampe à deux fois rallumée
129
Tout ce réseau, cette ombre, invisible séjour
133
Trottoir de l’Élysé’−Palace
24
Tu as beau me parler de vieillesse, ah, que n’ai−je
138
Tu m’avais dit : « je t’embrasserai, si tu veux
134
Un Jurançon 93
47
Va, laisse notre amour en paix : du feu de joie
142
Vénus hait le soleil. Sous le couvert éclose
127
Vieillesse, lendemain d’amour, tristes ébats
104
Vêtue à l’envi d’un beau soir
143
Voici que j’ai touché les confins de mon âge
138
Vous me reprochez, entre tant
106
Vous qui retournez du Cathai
57
Vous souvient−il de l’auberge
97
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