Livre:Michelet - OC, Histoire de France, t. 15.djvu
Apparence
Titre | Œuvres complètes de J. Michelet |
---|---|
Volume | Histoire de France |
Auteur | Jules Michelet |
Lieu d’édition | Paris |
Année d’édition | s.d. (1893-1898) |
Bibliothèque | Internet Archive |
Fac-similés | djvu |
Avancement | À corriger |
Série |
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TABLE DES MATIÈRES
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— Le Credo du dix-huitième siècle.
Chapitre Premier. — Fleury et Monsieur le Duc (1724).
Fleury transmet à Monsieur le Duc un pouvoir limité.
Fleury créé par les Jésuites.
Il écarte les honnêtes gens de l’enfant royal.
Duverney dirige Monsieur le Duc et Mme de Prie.
Réforme de Duverney. Son impopularité.
Chapitre II. — Chute de Monsieur le Duc (1725-1726).
Amour de la France pour le petit roi.
Ses camarades. — Connivence de Fleury.
Monsieur le Duc les chasse.
Il marie le roi (septembre 1725).
Chute de Monsieur le Duc (juin 1726).
Exil et mort de Mme de Prie.
Chapitre III. — Esprit guerrier et provocation du clergé. — France, Pologne, Espagne (1726-1727).
On aggrave la persécution protestante.
Cruauté des Jésuites, funestes à la Pologne.
Leurs folies d’Espagne, Riperda, nouvelle Armada.
L’Anglais corrompt la Farnèse et se joue de Fleury.
Chapitre IV. — Chute du siècle. — Impuissance des jansénistes et des protestants (1727-1729).
On dit à tort que la France se remit sous Fleury.
Réaction honnête et libérale du jansénisme.
Persécutions. Miracles jansénistes.
Associations des jansénistes, des francs-maçons.
Vertus et stérilité des jansénistes, des protestants.
Chapitre V. — Voltaire. — Mademoiselle Lecouvreur (1728-1730).
Voltaire revenu d’Angleterre (1728).
Lettres anglaises et contre Pascal : Le but de l’homme est l’action.
Tragique destinée de Mademoiselle Lecouvreur.
Elle est enterrée furtivement.
Chapitre VI. — Les Marmousets. — La Cadière (1730-1731).
Le roi sous le Pape ! la Bulle loi du royaume.
Le roi trahit ses camarades ; Fleury le tient sous clé.
Le procès du Père Girard et de La Cadière trouble la royauté du clergé (1731).
Le clergé perd l’espoir de devenir son propre juge.
Chapitre VII. — Zaïre et Charles XII. — La guerre (1732-1733).
La chanson de Bonneval, le pacha français.
Chauvelin et Bellisle pour la guerre (contre Fleury).
Essor des arts lyriques : Zaïre. On est amoureux de l’amour.
Infirmité de la reine. On achète pour le roi Mme de Mailly (1732).
Chauvelin veut rétablir Stanislas, chasser l’Autrichien d’Italie.
Chapitre VIII. — La guerre. — Fleury et Walpole (1733-1735).
Fleury, mené par Walpole, retarde et entrave.
On compromet la Pologne, Stanislas, et on les trahit.
Mort héroïque de Plélo.
L’Espagne profite de la guerre, prend les Deux-Siciles.
Malgré la trahison de Fleury, Chauvelin exige la Lorraine.
L’Angleterre anti-protestante. Elle assure l’Empire à l’Autriche.
Chapitre IX. — Voltaire (1734-1739). — Le roi ne fait point ses pâques (1739).
Les Lettres anglaises de Voltaire (1734).
Il se réfugie chez Mme Du Châtelet, en Hollande, etc.
Réaction. Chute de Chauvelin (23 février 1737).
Influence dévote et galante de Madame de Toulouse.
Contre elle, la Mailly appelle sa jeune sœur la Nesle (déc. 1738).
Le roi déclare qu’il ne fera pas ses pâques (avril 1739).
Chapitre X. — Guerre d’Autriche. — Grandeur et décadence de la Nesle (1740-1741).
La chimère du bon Roi, du salut par l’amour.
Mort de l’Empereur, guerre imminente (octobre 1740).
Apparition de Frédéric.
La Nesle décide le roi pour Frédéric contre Marie-Thérèse (1741).
Ambassade de Bellisle qui fait élire le Bavarois.
La Nesle ne peut réussir contre Fleury, l’Autriche.
La mort de la Nesle sauve Marie-Thérèse (septembre 1741).
Chapitre XI. — La Conspiration de famille. — La Tournelle. — Désastre de Prague (1742).
Le Dauphin, gras, dévot, chef du parti jésuite.
La reine et ses filles sont pour l’Espagne et pour Marie-Thérèse.
On veut leur opposer une maîtresse. Concurrence de La Tournelle et de la petite Poisson.
Fleury nous trahit pour l’Autriche ; retraite de Prague (déc). Mort de Fleury (janvier 1733).
Chapitre XII. — Frédéric-le-Grand. — Furie de l’Angleterre. — La Tournelle. — Le roi malade (1743-1744).
Frédéric et Bonaparte.
Combien Frédéric fut Français.
Brutalité de l’Angleterre, barbarie de Marie-Thérèse.
Faiblesse du roi pour sa fille l’Infante ; pacte de famille.
Mais La Tournelle envoie Voltaire à Frédéric.
Projet de descente en Angleterre.
Succès en Flandre ; le roi malade à Metz (1744).
Mort de La Tournelle (6 décembre 1744).
Frédéric, abandonné de la France, sauvé par un coup de génie.
Chapitre XIII. — La Pompadour. — Fontenoy. — Voltaire et l’origine de l’Encyclopédie (1745-1746).
Comment la Pompadour s’imposa au roi malgré lui.
Bataille de Fontenoy (11 mai 1745).
Descente de Charles-Édouard en Écosse (octobre).
La Pompadour, accueillie de la reine, non de ses filles.
Elle appuie Machault pour imposer les biens du clergé.
Voltaire à la Cour. L’Encyclopédie.
Chapitre XIV. — Le roi conquis par la famille. — Règne de Madame Henriette. — Paix de 1748.
Le plan de d’Argenson pour la Pologne et l’Italie, pour donner Milan au Piémont, etc.
Velléité du roi, désespoir de sa fille l’Infante.
Décadence de la Pompadour ; influence d’Henriette ; il renvoie Argenson (février 1747).
La reine refroidie pour Henriette.
Voltaire écrit Sémiramis.
écrit contre la paix, est disgracié.
Paix de 1748 (18 octobre).
Enlèvement du prince Édouard.
Chapitre XV. — Madame Henriette. — Les biens d’Église défendus et sauvés (1748-1751).
Le clergé renouvelle la guerre du jansénisme et emploie les filles du roi pour défendre ses biens.
Voyage de l’Infante à Versailles, renvoi de Maurepas.
Le roi associe ses filles à ses orgies (octobre 1749).
Enlèvements d’enfants et révoltes de Paris (mai 1750).
Le Chemin de la Révolte.
Le roi abandonne l’idée d’imposer le clergé.
Entrée du Dauphin au Conseil (octobre).
Adélaïde succède à Henriette qui meurt (février 1752).
Chapitre XVI. — Madame Adélaïde. — Les biens ecclésiastiques sauvés (1752-1756).
Caractère d’Adélaïde, violemment passionné.
Guerre imminente, lutte intérieure du Parlement et du clergé.
Règne d’Adélaïde (septembre 1752), abaissement de la Pompadour.
Discours contre les sciences, Devin du village ; divisions du parti encyclopédique.
Violences, enlèvements. Le Parlement attaque les Lettres de cachet.
Enlèvement du Parlement (9 mai 1753).
Chapitre XVII. — Suite d’Adélaïde. — Fourberie du roi. — Déception du Parlement (1753-1755).
Fluctuations du roi. Adélaïde s’établit chez lui (27 décembre 1753).
Le clergé obtient que Machault sorte des Finances (4 août 1754).
L’archevêque sauvé par le roi des poursuites du Parlement.
Le roi flatte le Parlement, fait enregistrer les impôts.
Bruits publics sur Adélaïde (juillet 1755).
Le roi se moque du Parlement, le subordonne au Grand-Conseil.
Chapitre XVIII. — Guerre de Sept-Ans (1756).
La Pompadour très bas en août 1755, et très haut en septembre.
Elle gagne le roi et la famille à l’Autriche par l’espoir que l’Infante aura les Pays-Bas.
Fourberie de l’Autriche. Marie-Thérèse se fait Française.
Conférence de Babiole (22 septembre 1755).
Union de la Prusse et de l’Angleterre (16 janvier 1756).
La Pompadour règne. Plus d’hommes en France.
Richelieu emporte Mahon (mai 1756).
Mais Frédéric enlève la Saxe au père de la Dauphine.
Le roi irrité se jette dans la guerre, brise le Parlement (décembre 1756).
Chapitre XIX. — Damiens (janvier-mars 1757).
Légendes du Pacte de famine, du Parc-aux-Cerfs.
Le viol du 17 février 1756.
On croit que le roi sera tué.
Origines de Damiens. — Les domestiques au dix-huitième siècle.
Ni jésuite, ni janséniste, mais parlementaire. Son idée fixe d’avertir le roi.
On lui jette un sort. Il vole.
Il retourne à Arras, voudrait se tuer.
Il revient pour avertir le roi, le frappe, 5 janvier 1757.
Ses premières réponses.
On veut lui faire accuser le Parlement.
La Pompadour renvoyée reste, fait renvoyer Argenson et Machault (1er février 1755).
Elle négocie avec le Parlement, fait espérer l’expulsion des Jésuites
Le procès étouffé. — Tortures et exécution de Damiens (28 mars).
Chapitre XX. — Frédéric. — Rosbach (1757).
Proscription de Frédéric et des philosophes de l’Encyclopédie.
Napoléon, Voltaire, et tous, ont trop ravalé Frédéric.
Sa grandeur dans la paix.
Son danger entre trois géants et sa défense de l’Europe.
Sept batailles en un an : victoire de Prague (6 mai).
Frédéric perd son unique allié (la petite armée de Hanovre).
Les agents de l’Autriche (Choiseul) diffament Frédéric.
Vie de Louis XV ; petit Parc-aux-Cerfs intérieur.
Vie de Frédéric ; ses vers à Voltaire.
Il se sent nécessaire au monde ; sa gaieté héroïque.
Marie-Thérèse le croit accablé, ordonne (par Choiseul) qu’on l’achève à Rosbach.
Le favori Soubise, l’armée des filles, coiffeurs et cuisiniers.
La déroute de Rosbach (3 novembre 1757).
L’admiration de Frédéric refait la patrie allemande.
Roi, général, philosophe, historien.
Chapitre XXI. — Credo du dix-huitième siècle (1720-1757).
La France fait la conquête morale de l’Europe.
I. L’Action. — Montesquieu et Voltaire.
Montesquieu prédit la mort du catholicisme (1720).
déclare le christianisme improductif et inactif.
Voltaire déclare : Le but de l’homme est l’action (1734).
L’action est libre, non fatale.
La règle de l’action est invariable (1738).
Ses disciples, Frédéric et Vauvenargues (1746).
Son Essai sur les mœurs (1740-1757). Unité morale du monde.
II. L’Action universelle. — Diderot.
Les arts-métiers.
Diderot Panto-phile, Panurge et Prométhée.
Il émancipe la Nature.
Il crée l’Encyclopédie.
Il lance Rousseau.
FIN DE LA TABLE DES MATIÈRES DU TOME QUINZIÈME.