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TitreŒuvres complètes de J. Michelet
VolumeHistoire de France
AuteurJules Michelet Voir l'entité sur Wikidata
Lieu d’éditionParis
Année d’éditions.d. (1893-1898)
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Série

Pages

Préface de 1869 :

Histoire de France :

Appendice :

Table des matières :


Pages
LIVRE I. — Celtes. — Ibères. — Romains.
Chapitre Ier. Celtes et Ibères 
 5
Race gauloise ou celtique ; génie sympathique ; tendance à l’action : ostentation et rhétorique 
Race ibérienne ; génie moins sociable ; esprit de résistance 
 8
Les Galls refoulent les Ibères et les suivent au delà des Pyrénées et des Alpes 
 9
Colonies dans le midi de la Gaule 
 10
1o Établissements des Phéniciens 
 11
2o Établissements des Ioniens de Phocée. Marseille 
Invasions celtiques dans le nord de la Gaule 
 12
1o Invasion et établissement des Kymry. Supériorité morale des Kymry sur les Galls. Druidisme 
 12
Passage des Galls, puis des Kymry, en Italie. Guerre contre les Étrusques. Lutte de la tribu contre la cité 
 13
Intervention des Romains. Prise de Rome, 388 
 15
Revers des Gaulois ; victoires de la cité sur la tribu 
2o Invasion des Belges ou Bolg. Leurs établissements dans le Languedoc 
 16
Expéditions des Gaulois en Grèce et en Asie 
 18
Gaulois mercenaires 
 19
Insurrection des Gaulois d’Italie, Boïes et Insubres 
 19

222. Rome accable les Boïes, puis les Insubres 
 22
Hannibal relève les Gaulois 
 23

201-170. Ruine des Boïes et Insubres. L’Italie fermée aux Gaulois 
 23
Rome accable les Gaulois d’Asie ou Galates 
 24
Première expédition des Romains dans la Gaule 
112. Invasion des Cimbres et des Teutons. Défaites des Romains 
 28
102-101. Marius. Extermination des Teutons et des Cimbres 
 32


Chapitre II. État de la Gaule dans le siècle qui précède la conquête. — Druidisme. — Conquête de César 
 37
Première religion des Galls. Culte de la nature 
 38
Religion des Kymry ou druidisme. Dogme moral de l’immortalité de l’âme, des peines et des récompenses 
 39
Science druidique. Astrologie, médecine. Samolus, gui, œuf de serpent 
 40
Prêtresses et prophétesses. Vierge de Sein. Sacrifices humains 
 41
Hiérarchie sacerdotale. Druides, Ovates, Bardes 
 43
Assemblées des druides dans le pays des Carnutes 
 44
Impuissance du druidisme pour fonder une société. La Gaule lui échappe. Triomphe de l’esprit de clan 
 45
César. — État intérieur de la Gaule. Deux partis : 1o le parti gallique ou des chefs de clans (Arvernes et Séquanes) ; 2o le parti kymrique ou du druidisme (Édues, etc.) ; l’hérédité et l’élection 
 46
Les Séquanes appellent contre les Édues les Suèves, qui oppriment les uns et les autres 
 47
Un Édue, Dumnorix, appelle les Helvètes 
 48
Un Druide, frère de Dumnorix, appelle les Romains 

58. César repousse les Helvètes 
 48
et chasse les Suèves 
 49
Les Gaulois du nord se coalisent contre César, appelé par les Édues, les Sénons et les Rhèmes 
57. Guerre pénible de César contre les peuples de la Belgique 
 50
56. Il réduit les tribus des rivages et l’Armorique 
 51
55. Il fallait frapper les deux partis qui divisaient la Gaule, dans la Germanie et dans la Bretagne.
1o César passe le Rhin 
 52
2o Il passe en Bretagne 
 53

54-53. L’insurrection éclate en Gaule de toutes parts 
 55
Soulèvement et extermination des Éburons 
52. Soulèvement des deux partis, kymrique et gallique (Carnutes, Arvernes, etc.) 
 56
César accourt de l’Italie, prend Genabum et Noviodunum 
Soulèvement des Édues 
 57
César assiège dans Alésia le Vercingétorix 
 58
51. Il la prend et réduit rapidement la Gaule 
 59
Chapitre III. La Gaule sous l’Empire. — Décadence de l’Empire. — Gaule chrétienne 
 61
César, génie cosmopolite, favorable aux vaincus, fait entrer les Gaulois dans la cité 
Antoine, imitateur de César. Réaction d’Octave ; il repousse les Gaulois de la cité, et impose à la Gaule la forme romaine 
 62
Association du paganisme romain à la religion gallique 
 63
Persécution du druidisme. La Gaule soulevée par les Trévires et les Édues 
Caligula, Claude, Néron, descendants d’Antoine, favorables aux vaincus 
 67
Caligula, né à Trêves, institue les jeux du Rhône à Lyon 
Claude, né à Lyon ; il rouvre la cité aux Gaulois 
 68
Persécution des druides. Réduction de la Bretagne 
 70
Néron. La Gaule prend parti pour Galba et pour Vitellius 
 71
Révoltes de Civilis et de Sabinus contre Vespasien 
 72
Relations de Rome et de la Gaule. Action réciproque 
 74
Influence de la Gaule sur les destinées de l’Empire. Empereurs gaulois 
 76
Essai d’un empire gallo-romain. Posthumius, etc. 
 77
Décadence de l’Empire. La faute n’en est point aux Empereurs ni à l’administration 
 78
Substitution des esclaves aux petits cultivateurs. Extinction graduelle et nécessaire de la population esclave 
 81
Point d’industrie. La société absorbe et ne produit point. Misère universelle, fiscalité intolérable 
 83
Révolte des Bagaudes 
 85
Constantin. Espoir de l’Empire 
 86
Dépopulation croissante. Misère des Curiales 
 88
Condamnation de la société antique 
 91
Toutefois Rome laisse en Gaule l’ordre civil, la Cité 
Gaule chrétienne 
 92
Le christianisme y a mis l’ordre ecclésiastique 
 92
Les moines de Saint-Benoît commencent le travail libre 
La nationalité gauloise se réveille dans le christianisme 
 94
Un Grec fonde la mystique Église de Lyon 
 95
Saint Irénée, saint Hilaire, saint Ambroise, saint Martin 
Idée de la personnalité libre, loi de la philosophie celtique, posée par le Breton Pélage 
 98
Les Pélagiens, disciples d’Origène. Sympathie du génie grec et du génie gaulois 
 98
Lutte de saint Augustin contre les Pélagiens 
 99
Semi-pélagianisme de la Provence 
 100
Le rationalisme des Pélagiens était prématuré 
Chapitre IV. Récapitulation. — Systèmes divers. — Influence des races indigènes, — des races étrangères. — Sources celtiques et latines de la langue française. — Destinée de la race celtique 
 102
Systèmes divers. Les uns rapportent tout le développement de la nationalité française à l’élément indigène, les autres à l’influence étrangère 
 103
Défaut commun de ces deux systèmes exclusifs 
 104
Récapitulation. Gaëls, Ibères, Kymry, Bolg, Grecs, Romains 
 105
La France résulte du travail de la liberté sur ces éléments 
 109
N’a-t-on pas exagéré l’influence grecque ? 
et l’influence romaine ? 
 110
Est-il vrai que la langue latine ait été universelle ? 
 111
De la langue vulgaire gauloise et de l’analogie qu’elle a pu présenter avec les modernes dialectes celtiques 
 113
Ténacité des races celtiques 
 115
Destinée malheureuse des races restées pures 
 118
Galles et Bretagne, Irlande et Highland d’Écosse 
LIVRE II. — Les Allemands.
Chapitre Ier. Monde germanique. — Invasion. — Mérovingiens 
 128
Monde germanique, flottant et vague 
Première Allemagne, ou Allemagne suévique 
 131
L’invasion des tribus odiniques (Goths, Lombards, Burgundes ; — Saxons) y apporte une civilisation plus haute 
Goths, Lombards et Burgundes ; chefs militaires 
 132
Saxons ; Ases, descendants des dieux 
 134
Génie impersonnel de la race germanique 
 135
L’héroïsme commun aux barbares n’a-t-il pas été pris à tort pour le caractère propre des Germains ? 
Esprit d’aventure des temps héroïques. Sigurd 
 137
But des courses héroïques : l’Or et la Femme. Brunhild 
 138
375. Première migration des barbares dans l’Empire. Invasion des Goths 
 139
383. Soulèvement des populations celtiques de Gaule et de Bretagne ; Maxime, Constantin 
 140
412. Établissement des Goths dans l’Aquitaine. Désorganisation de la tyrannie impériale 
 142
413. Établissement des Burgundes à l’ouest du Jura 
 144
451. Invasion des Huns dans la Gaule. Attila 
 146
Résistance des Goths. Bataille de Châlons. Combat fratricide des tribus germaniques. Retraite des Huns 
 149
Civilisation romaine des Goths. Résurrection de la tyrannie impériale 
 150
Le clergé appelle les Francs dans la Gaule 
 151
L’Église soutient les Francs catholiques contre les Goths et Burgundes ariens 
 153
486. Commencement de l’invasion franque. Syagrius vaincu 
 154
496. Clovis. Il repousse les tribus suéviques (Allemands) et embrasse le christianisme 
 155
507. Victoire des Francs sur les Goths 
 156
L’invasion franque achève la dissolution de l’organisation romaine 
 157
511. Les fils de Clovis (Theuderic, Clotaire, Childebert, Clodomir) se partagent les conquêtes, ou plutôt l’armée 
 162
523-534. Guerres contre les Thuringiens et les Burgundes 
 163
Mort de Clodomir. Meurtre de ses enfants 
 164
Expédition de Theuderic en Auvergne 
 166
539. Expédition de Theudebert en Italie. — Revers des Francs 
 167
Les tribus germaniques se soulèvent contre les Francs 
 168
558-561. Réunion sous Clotaire Ier 
 170
561. Partage entre les quatre fils de Clotaire (Sigebert, Chilpéric, Gontran, Charibert) 
Les Francs livrés à l’influence romaine et ecclésiastique 
Frédégonde, femme de Chilpéric, roi de Neustrie. Brunehaut, femme de Sigebert, roi d’Ostrasie 
 172
Sigebert appelle les Germains contre Chilpéric ; meurt assassiné 
 173
En Neustrie, essai de résurrection du gouvernement impérial. Fiscalité oppressive 
 175
584. Meurtre de Chilpéric 
 179
Gontran, roi de Bourgogne, protège Frédégonde et son fils Clotaire II contre l’Ostrasie 
 180
La Gaule méridionale essaye de se donner un roi, Gondovald 
 181
Childebert, roi d’Ostrasie, soutient Gondovald contre Gontran 
 184
Gontran se réconcilie avec Childebert. Abandon et mort de Gondovald 
 185
Mort de Gontran, de Frédégonde et de Childebert 
 191
Theudebert II en Ostrasie, Theuderic II en Bourgogne, Clotaire II en Neustrie 
 191
Victoires de Theuderic II sur Theudebert II. L’Ostrasie réunie à la Bourgogne. Puissance de Brunehaut 
 192
613. Abandon, défaite et mort de Brunehaut 
 194
Victoire de la Neustrie, c’est-à-dire des Gaulois-Romains 
 196
613-638. Clotaire II. Dagobert. — Faiblesse réelle de la Neustrie 
 197
Règne de l’Église. L’Église asile des races vaincues 
 198
Centres ecclésiastiques de la Gaule, Reims et Tours 
 200
L’Église absorbe tout, se matérialise, et devient barbare 
 205
Le spiritualisme se réfugie dans les moines 
 206
La réforme vient de l’Église celtique, éclairée et florissante 
Arrivée de saint Colomban 
 207
Règle de saint Colomban (mort en 615) 
 209
Impuissance de cette réforme 
 212
Dissolution de la monarchie neustrienne 
 213
Clovis II réunit les trois royaumes. Minorité de ses trois fils. Puissance des maires du Palais, Erchinoald et Ébroin 
 215
660-681. Lutte d’Ébroin contre l’Ostrasie et la Bourgogne. Mort de saint Léger (678) 
 216
687. Victoire des grands d’Ostrasie sur la Neustrie et le parti populaire. Bataille de Testry 
 219
Dégénération des Mérovingiens 
 220
Chapitre II. — Carlovingiens. — Huitième, neuvième et dixième siècles 
 222
Origine ecclésiastique des Carlovingiens 
 223
La bataille de Testry achève et légitime la dissolution 
 224
Impuissance de Pepin et de l’Ostrasie 
 225
715-741. Carl Martel. Physionomie païenne de ce chef des Francs 
Il bat les Neustriens, les Aquitains, les Sarrasins 
 226
732. Bataille de Poitiers 
 227
Il refoule les Frisons, les Saxons, les Allemands 
 228
Il dépouille le clergé 
Puis il se réconcilie avec l’Église. Mission de saint Boniface dans la Germanie 
 229
752. Saint Boniface sacre roi Pepin au nom du pape 
 231
Guerres de Pepin contre les ennemis de l’Église, Saxons, Lombards, Aquitains 
 232
Situation de l’Aquitaine. Progrès des Basques 
 233
Amandus (628). Puissance de son arrière-petit-fils Eudes 
 234
Eudes s’allie aux Sarrasins, est battu par Charles-Martel 
 235
741. Arrestation et défaite d’Hunald 
 236
745. Guaifer, fils d’Hunald 
 237
739. Pepin défait Guaifer et ravage le midi de la Gaule 
 238
Puissance de Pepin, fondée sur l’appui de l’Église 
768. Charlemagne et Carloman. Révolte d’Hunald. Charlemagne, roi des Lombards 
 239
La faiblesse des nations environnantes, la vieillesse du monde barbare, la longueur des règnes de Pepin et de son fils, n’ont-elles pas fait illusion sur la grandeur réelle de Charles ? 
 241
La grande guerre fut contre les Saxons. La cause fut-elle l’imminence d’une invasion ? 
 243
772. Première expédition en Saxe. Charles fixe sa résidence à Aix-la-Chapelle 
 245
775-777. Passage du Weser. Soumission des Saxons Angariens. Charlemagne baptise les vaincus à Paderborn 
 246
778. Guerre d’Aquitaine et d’Espagne. Défaite de Roncevaux 
 247
779. Reprise de la guerre de Saxe. Victoire de Buckholz 
 249
Organisation ecclésiastique de la Saxe. Fondation de huit évêchés. Tribunaux d’inquisiteurs 
782. Witikind descend du Nord, et défait les Francs à Sonnethal 
 250
Massacre de Verden. Victoires de Dethmold et d’Osnabruck. Soumission de Witikind 
 251
Conjuration contre Charlemagne 
787. Ligue des Bavarois et des Lombards 
 252
Guerre contre les Slaves ; l’empire Franc s’étend et s’affaiblit. Guerre contre les Avares 
 253
791. Révolte des Saxons. Invasion des Sarrasins 
 254
796-797. Charlemagne entreprend la dépopulation de la Saxe 
 255
800. Voyage de Charlemagne à Rome. Le pape le proclame empereur 
 256
Pâle représentation de l’Empire. — Ambassade d’Haroun-al-Raschid 
 257
Zèle de Charlemagne pour la culture des lettres latines et les cérémonies du culte 
 258
Ses femmes et ses filles 
 259
Réforme des moines par saint Benoît d’Aniane 
 260
Littérature pédantesque et vide 
Préférence de Charlemagne pour les étrangers et les gens de basse condition 
 260
Apparences d’administration 
 267
Misère de l’Empire 
 268
Que penser de la gloire législative de Charlemagne ? 
Caractère ecclésiastique des Capitulaires 
 269
Intervention de Charlemagne dans les affaires de dogme 
 270
La domination des Francs s’écroule 
 271
Premières apparitions des pirates du Nord 
 272
L’Empire se met vainement en défense 
 273
Chapitre III. Dissolution de l’Empire carlovingien 
 274
L’empire Franc aspire à se diviser 
814. Louis réforme les évêques, les monastères, le palais impérial 
 275
Il se montre favorable aux vaincus, veut réparer et restituer 
 276
Insurrection de l’Italie sous Bernard, neveu de Louis. Supplice de Bernard 
 277
Soulèvement des Slaves, des Basques, des Bretons 
 278
Mariage de Louis avec Judith 
 279
822. Il veut faire une pénitence publique 
 280
820-829. Incursions des Northmans 
830. Conjuration des grands et des fils de l’empereur, Lothaire, Louis, Pepin 
 280
Lothaire enferme Louis dans un monastère 
 281
Les Germains le délivrent 
833. Lothaire redevient maître de son père 
 282
et lui impose une pénitence publique 
Indignation et soulèvement de l’Empire 
 283
834-835. Lothaire, abandonné, s’enfuit en Italie 
 285
839. L’empereur partage ses États entre ses fils 
 286
Il meurt, et avec lui l’unité de l’Empire 
841. Pepin et l’Aquitaine se joignent à Lothaire contre les rois de Germanie et de Neustrie. Défaite de Lothaire à Fontenaille 
 287
842. Alliance et serment de Charles et Louis 
 289
Les évêques lui confèrent le droit de régner 
 290
843. Partage de l’Empire. Traité de Verdun 
 291
L’appui de l’Église fait prévaloir Charles et Louis sur Lothaire et Pepin 
 293
Puissance de l’Église dans la Neustrie. Reims, la ville épiscopale sous la seconde race. Laon, la ville royale 
 295
Charles-le-Chauve remet la plus grande partie du pouvoir à l’Église 
 296
Le vrai roi est l’archevêque de Reims. Hincmar 
 298
Le royaume de Neustrie était une république théocratique 
 300
Deux événements brisent ce gouvernement spirituel et temporel : 1o les hérésies ; 2o les incursions des Northmans 
 301
Question de l’Eucharistie 
Question de la prédestination. L’Allemand Gotteschalk 
 302
Hincmar défend le libre arbitre, et appelle à son aide Jean-le-Scot 
 303
Les Northmans. Caractère de leurs incursions 
 305
Impuissance du roi et des évêques 
 310
Charles-le-Chauve s’éloigne des évêques et n’en est que plus faible 
 313
875-877. Il se fait empereur et meurt en Italie 
Louis-le-Bègue et ses fils 
884. Charles-le-Gros réunit tout l’empire de Charlemagne 
 314
Siège de Paris par les Normands 
Faiblesse et lâcheté de Charles-le-Gros 
 315
888. Déposition de Charles-le-Gros. Extinction de la dynastie carlovingienne 
 316
Fondation des diverses dominations locales ; féodalité 
Les fondateurs de la féodalité ferment la France aux incursions barbares 
 317
Les Northmans renoncent au brigandage et s’établissent en France (Normandie) 
 321
Au milieu du morcellement de l’Empire, grands centres ecclésiastiques 
 322
Les deux familles des Capets et des Plantagenets 
 323
La famille populaire et nationale des Capets succède aux Carlovingiens 
 325
Charles-le-Simple se met sous la protection du roi de Germanie 
Le parti carlovingien l’emporte 
898. Charles-le-Simple reconnu roi 
 326
936. Louis-d’Outre-mer s’allie au roi de Germanie, Othon 
 327
Opposition d’Hugues-le-Grand, soutenu par les Normands 
954. Minorité de Lothaire et d’Hugues-Capet. Prépondérance de la Germanie 
 330
987. Hugues-Capet. Avènement de la troisième race 
 334
Sur les Ibères et les Basques 
 341
Sur les traditions religieuses de l’Irlande et du pays de Galles 
 350
Sur les pierres celtiques 
 359
Triades de l’île de Bretagne 
 362
Sur les Bardes 
 370
Sur la légende de saint Martin 
 372
Extrait de l’ouvrage de M. Price, sur les races de l’Angleterre 
 381
Sur l’Auvergne au cinquième siècle 
 384
Sur la captivité de Louis II 
 390
Sur les Colliberts, Cagots, Caqueux, Gésitains, etc. 
 391
APPENDICE. — Notes 
 397
FIN DE LA TABLE DU TOME PREMIER.