Livre:Pert - Charlette.djvu

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TitreCharlette
AuteurCamille Pert Voir l'entité sur Wikidata
Maison d’éditionH. Simonis Empis, éditeur
Lieu d’éditionParis
Année d’édition1901
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Pages

TABLE



Page 10 « Pourquoi suis-je ici ?… À quoi bon m’avoir fait venir ?… »

Page 22 « … Belle elle avait été, et ne serait que Belle toute sa vie… »

Page 35 « … Samela, prononça-t-elle gravement, tu ne veux pas dire que maman penserait à me marier malgré moi ?… »

Page 48 « … Vous devez rester près de nous, Charlette, et vous resterez… »

Page 69 « … En trois entrevues, je rendrais cette petite éperdument amoureuse… »

Page 84 « … Mon Dieu, que je l’aime ! se répétait-elle, transportée, appliquant à ces mots un sens à la fois très naïf et extrêmement profond… »

Page 99 « — Ne voyez-vous pas que c’est un fiancé ? Charlette sourit, son cœur bondissant de joie, car elle avait cru percevoir une jalousie dans les paroles de Hallis… »

Page 109 « … Ce baiser d’amour, le premier qu’elle eût reçu — qu’elle avait vu décrit et jamais imaginé — la laissait singulièrement éperdue et terrifiée… »

Page 130. À cette nouvelle inattendue du départ de Hallis, Charlette s’était sentie frappée d’une douleur aiguë, comprenant pour la première fois la place étrange que cet homme tenait dans son âme… »

Page 153 « … Elle eut un long tressaillement, ses yeux s’entr’ouvrirent, laissant couler deux grosses larmes. — Oh ! vous ! fit-elle avec un reproche, une déception suprêmes… »

Page 160 « … Si je n’ai pas repoussé immédiatement ce projet de mariage, c’est au contraire à cause de la façon particulière dont il se présente… »

Page 183 « — Ah, Charlette, prononça-t-il, la voix altérée, ne te marie pas à la légère !… et, si tu Le maries, demeure irréprochable ! … »

Page 194 « — J’ai confiance en l’avenir, prononça-t-elle avec une ferveur émue… »

Page 208 « … Encore une fois, le mariage avait uni deux cœurs séparés, deux pensées inconnues, deux âmes étrangères !… »

Page 212 « — Non, tu ne m’aimes pas, s’écria-t-il avec une vivacité agressive. Je l’ai vu tout de suite !… J’espérais te conquérir, mais, de jour en jour, au contraire, je te sens plus froide plus lointaine !… »

Page 231 « … Voilà un jeune mari qui paraît vouloir être maitre chez lui !… »

Page 267 « … Ah ! Samela, murmura-t-elle à voix basse, que je me sens loin de tous ces gens-là… »

Page 286 « … Les yeux des deux femmes se rencontrèrent — ardents d’interrogation et de douleur, ceux de Charlette… inquiets, peu à peu troublés, ceux de Belle… »

Page 298 « … Ah ! Samela, si je mourais, j’oublierais tout !… »

Page 300 « … Avec la vie et ses forces recouvrées, une ardeur s’infusait en ses veines, une soif de revanche de tout ce qu’elle avait souffert et subi… »

Page 317 « — Écoute, Samela, ne crains plus rien pour moi… Désormais, j’aurai mon enfant à bercer… »


ÉMILE COLIN, IMPRIMERIE DE LAGNY (S.-&-M.)