Ma confession/Chapitre 12

La bibliothèque libre.
Traduction par Zoria.
Albert Savine (p. 185-201).
◄  XI.
XIII.  ►
XII


La conscience que j’acquis de l’erreur dans laquelle était tombée ma raison m’aida à me délivrer de la tentation des méditations creuses. La conviction que la science de la vérité ne pouvait être trouvée que dans la vie m’avait porté à douter si ma manière de vivre était la bonne ; mais je fus sauvé parce que j’eus le temps de m’arracher à cette situation exclusive où je me trouvais, Page:Tolstoï - Ma confession.djvu/200 Page:Tolstoï - Ma confession.djvu/201 Page:Tolstoï - Ma confession.djvu/202 Page:Tolstoï - Ma confession.djvu/203 Page:Tolstoï - Ma confession.djvu/204 Page:Tolstoï - Ma confession.djvu/205 Page:Tolstoï - Ma confession.djvu/206 Page:Tolstoï - Ma confession.djvu/207 Page:Tolstoï - Ma confession.djvu/208 Page:Tolstoï - Ma confession.djvu/209 Page:Tolstoï - Ma confession.djvu/210 Page:Tolstoï - Ma confession.djvu/211 Page:Tolstoï - Ma confession.djvu/212 Page:Tolstoï - Ma confession.djvu/213 Page:Tolstoï - Ma confession.djvu/214 Page:Tolstoï - Ma confession.djvu/215