Ma confession/Chapitre 13
Albert Savine, (p. 202-215).
C’est ainsi que la force de la vie se renouvela en moi et que je recommençai à vivre.
Je renonçai à la vie du monde ayant reconnu que ce n’était pas la vie, mais seulement une parodie de la vie et que les conditions de superflu dans lesquelles nous vivons nous empêchent de comprendre la vie. En effet, je dois ne pas m’attacher aux exceptions, aux Page:Tolstoï - Ma confession.djvu/217 Page:Tolstoï - Ma confession.djvu/218 Page:Tolstoï - Ma confession.djvu/219 Page:Tolstoï - Ma confession.djvu/220 Page:Tolstoï - Ma confession.djvu/221 Page:Tolstoï - Ma confession.djvu/222 Page:Tolstoï - Ma confession.djvu/223 Page:Tolstoï - Ma confession.djvu/224 Page:Tolstoï - Ma confession.djvu/225 Page:Tolstoï - Ma confession.djvu/226 Page:Tolstoï - Ma confession.djvu/227 Page:Tolstoï - Ma confession.djvu/228 Page:Tolstoï - Ma confession.djvu/229