Page:Œuvres de Descartes, éd. Cousin, tome V.djvu/515

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Pourquoi les prairies étant peintes de diverses couleurs ne paraissent de loin que d’une seule. 58
Pourquoi tous les corps se voient moins distinctement de loin que près 59
Comment la grandeur de, l’image sert à rendre la vision plus distincte. ibid.
Comment on connait vers quel côté est l’objet qu’on regarde, ou celui qu’on montre du doigt sans le toucher, ibid.
Pourquoi le renversement de l’image qui se fait dans l’œil n’empêche pas que les objets ne paraissent droits. 60
Pourquoi ce qu’on voit des deux yeux ou qu’on touche des deux mains ne parait pas double pour cela. ibid.
Comment les mouvements qui changent la figure de l’œil servent à faire voir la distance des objets. 61
Qu’encore que nous ignorions ces mouvements, nous ne laissons pas de connaitre ce qu’ils désignent. ibid.
Comment le rapport des deux yeux sert aussi à faire voir la distance. ibid.
Comment on peut voir la distance avec un œil seul en lui faisant changer de place. 62
Comment la distinction ou confusion de la figure et la débilité ou la force de la lumière sert aussi à voir la distance, ibid.
Que la connaissance qu’on a eue auparavant des objets qu’on regarde sert à mieux connaitre leur distance. 63
Comment la situation de ces objets y sert aussi ibid.
Comment on voit la grandeur de chaque objet. ibid.
Comment on voit sa figure. 64
Pourquoi souvent les frénétiques ou ceux qui dorment pensent voir ce qu’ils ne voient point. ibid.
Pourquoi on voit quelquefois les objets doubles. 65
Comment l’attouchement fait aussi quelquefois juger qu’un objet soit double. ibid.