omme rien de vraiment solide ne peut être compris
sans la cognition des principes et des préceptes,
il est juste que cet œuvre Paramirum
te soit dédié à toi, seigneur Docteur Joachim de Wadt,
ô homme éminent entre tous, qui es seul parmi les autres,
puisque tu ouvres chaque voie tendant à la vérité
et tu excites particulièrement ceux qui la cultivent et la
recherchent. Il est juste, dis-je, qu’avant tous les
autres, je te consacre cet ouvrage, à cause d’étonnantes
erreurs nées dans l’art médical, duquel tu es
vraiment, parmi tous les citoyens de notre patrie
Helvétique, l’adepte le plus éminent et celui qui, à bon
droit, mérite cette palme de louange, de telle sorte
que je te choisisse entre tous comme juge de mon
œuvre présente. Car je te sais censeur bienveillant