Page:Œuvres de Virgile (éd. Panckoucke, 1859).pdf/374

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

m’est donné, porter à Pluton ce gage qui lui appartient, et je te délivre des liens du corps. » Elle dit, et sa main coupe le cheveu : soudain toute la chaleur se dissipe, et la vie de Didon s’échappe dans les airs.