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Page:Œuvres de Walter Scott, Ménard, traduction Montémont, tome 13, 1838.djvu/58

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Nous l’avons trop long-temps retenu sous le porche,
Et privé du soleil au moyen d’une torche[1].

Adieu donc, mon cher capitaine ; veuillez présenter mes respectueux hommages au curé, au maître d’école, au bailli et à tous les membres de l’heureux club du village de Ivennaquhair. Je n’ai jamais vu et je ne verrai jamais aucun d’eux, et néanmoins je crois les connaître mieux que personne. Je vous ferai bientôt entrer en connaissance avec mon joyeux ami, M. John Ballantyne de Trinity-Grove[2], que vous trouverez encore tout échauffé de sa petite escarmouche avec un de ses confrères. Que la paix mette fin à leurs inimitiés ! C’est un métier dans lequel le courroux s’enflamme aisément, et le genus irritabile comprend la race des vendeurs aussi bien que celle des faiseurs de livres. Adieu encore une fois.

L’auteur de Waverley.
  1. Traduction littérale. a. m.
  2. Imprimeur des romans de Walter Scott à Édimbourg. La querelle dont parle l’auteur est relative au roman du Château de Pontefract précité. a. m.