Page:Aimard - Les Trappeurs de l’Arkansas, 1858.djvu/328

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travers de sa selle, la mère du Cœur-Loyal évanouie.

Cette rencontre était pour le trappeur une bonne fortune, dont il profita pour demander au vieil Espagnol des renseignements positifs sur le chasseur, renseignements que le vieillard se hâta de lui donner.

Puis, les deux hommes se rendirent à la hutte du trappeur dont ils étaient peu éloignés et dans laquelle ils voulaient placer provisoirement la mère de leur ami.