Page:Alençon - Sous le masque, 1918.pdf/132

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.


Riviera


Les matins sont si clairs et les nuits sont si chaudes,
L’odeur des mimosas souffle si tendrement
Et le bord de la mer qui sent le sable et l’iode
Avec tant de douceur meurt en les pins dormants.