Page:Alençon - Sous le masque, 1918.pdf/168

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.


Le Vase merveilleux


Je t'aime d'autant plus que je te sens plus frêle
Plus hésitante et plus à la merci de tous
Ô toi qu'un seul caprice en t'effleurant de l'aile
Te transformant soudain, t'emporte on ne sait où !