Page:Alexandre Pouchkine - Poèmes dramatiques, Viardot, 1862.djvu/127

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée



BORIS.

Qu'on lui fasse une aumône» Pourquoi pleure-t-il ?

LE SANTON.

Les petits garçons me tourmentent. Faisleur couper le cou, comme tu as fait couper le cou au petit tzarévitch.

TOUS LES BOYARDS.

Va-l'en, fou ! Saisissez le fou !

BORIS.

Laissez-le. — Prie pour moi, innocent. (// s'éloigne.)

Le Santon lui parlant. Non, non ; l'on ne peut pas prier pour un tzar Hérode. La sainte Vierge le défend.


(En vers.)

Sevsk,