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Les amateurs, familiers avec les chroniques et les chants de guerre de l’époque, sauront bien, s’ils le veulent, retrouver les sources de ces ballades. Si les autres lecteurs reconnaissent ici quelque peu la vérité des temps et des lieux, sans que l’imagination ait sujet de s’en plaindre, la ballade historique sera justifiée et l’on n’en demande pas davantage en sa faveur.

Quoique détachées d’une œuvre plus considérable, ces quelques pièces forment bien à elles seules un ensemble, et l’auteur en fait hommage à la fête nationale du 22 juin.

H.-F. A.

Genève, le 17 mai 1876.