Page:Andler - Nietzsche, sa vie et sa pensée, I.djvu/265

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ment ce qui masque les faits purs et nus, tirer au clair ceux-là de préférence dont tremblent les âmes débiles ; puis, dans une illumination passionnée, concevoir un idéal « qui double la force d’un homme de génie et tue les faibles »[1], n’est-ce pas ce qu’a essayé le philosophe de Jenseits von Gut und Boese ?





  1. Rome, Naples et Florence, p. 233. V. les rapprochements très probants de Léon Blum, Stendhal et le beylisme, p. 163 sq., 177 sq.