Page:Arène - La Chèvre d’or.djvu/107

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le bas par la terre, se met à poursuivre perdrix et lièvres.

Nous y trouvons notre compte tous les deux.

L’abbé, pris d’une subite ferveur scientifique, m’indique des restes curieux de constructions, me signale les noms de famille ou de quartier paraissant se rattacher à l’ensemble de mes études ; mais, coïncidence bizarre, partout où l’abbé connaît quelque chose qu’il juge digne de m’être montré, nous rencontrons toujours, par surcroît, un lièvre qui attend au gîte ou des perdreaux mûrs pour le plomb.