du mouvement des apsides. Il ne fait pas encore usage de la notation leibnitienne des différentielles.
Le célèbre problème que Viviani proposa en 1692, avait pour objet la détermination d’une certaine portion de la surface de la sphère, ou si l’on veut d’une certaine étendue de voûte à forme sphérique, dont la superficie devait être exactement assignable. Dans un Mémoire qui fait partie de la collection de Pétersbourg pour l’année 1769, Euler traita une seconde question, celle de la voûte cubable. Bossut remarque plus tard (voyez Mémoires de l’Institut, t. ii) que la construction de Viviani pour la voûte hémisphérique quarrable, donne en même temps une solution du problème de la voûte hémisphérique cubable. Dans le Mémoire dont on vient de lire le titre, Brinkley établit qu’on peut obtenir un nombre indéfini de portions de sphère qui soient à la fois quarrables et cubables. Le théorème de Bossut est un cas particulier de la solution générale donnée par le géomètre de Dublin.
Le problème de Kepler a pour objet la détermination de la position elliptique d’une planète, d’après la con-