Page:Archives israelites 13.djvu/432

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voix du peuple qui est lh vois de Dieu, réduits il ses proprœ forces ou plutot à se faiblesse native, d’auant plus dangereuse qu’elles trouvent de ces sentiments tendres, dus cette bmuté,. dans ces mêmes grâces qui sont le plus bel apaunge de la ienne et qui semblent ceuspirer centre elle pour le faire tombes dans le piége Y Quelles seront les armes défensives, répéterons-nous, si vous la dépouiller de cette égide et de ce bouclier que lui Senn la religion?— ¤*7t’7t~t ’I’! HD1 UBI? *3 (Ps. 84,12). La üüe sans religion est lu fille dre Canaan., dent ni Abrahm, ui Isaac, Il Rebecca ue voulurent pour leurs Els, dont ils cunsidérèreat l’alliu·nce· comme le plus grand malheur qui pût arriver àleu postérité, comme le plus puissant obslaelnà la réulisatien des destinées promises à leur sainte famille.

O jeunes élèves! 6 vous toutes, jeunes isrsélites lei présentes, certes vous ne voulez pas ressembler à ces filles dont Abraham disait â son litièle Éliezer 7 — luce-moi par le Dieu’du ciel et le la terre de ne pas faire épouser à moua fils une Cauuéeune; et - Isaac à Jacob: -Ne·prends pcs une fe us parmi les filles. de Canam ;— et Rebecca à Issue: — Lu vie m’est à charge si Jacob épouse une Elle de Beth. —El1 bien, savu-vous ce qu’iI faut faire pour uepus être comparée ir ces tenues impurœ, il faut. ressembler àlebecea, cluoisiepur le serviteurs d’Abnhsm pour le üls de son multre; à Rachel, que heob choüt lui-même pour · sa compagne; à Ruth, que Boon, le j uge·d’hr¤ël, ne dédaigue pus d‘assocîer à sunsert; à Esther, quesa beauté ut plaise àAsuérus, mais que sa conduite, si éloiguéede le frivolité et de h vaüté.... qu’011 appelle féminine, sut reutlre ulolsjet de respect pour tout. le monde. — R11? "D *3*93 fl’! DIU!) TQ ’l’m

Ce sont lâ les modéles que vous olfre la Bible; en les étulitll., vous saurez accomplir vos· devoirs et, comme elles, mériter Yq- probaliou générale. Avec Rebecca. vous- apprelùuw le charité; lu charité qui sied â la jeune fille et qui cousishsdeus cet emprusement, dans cette préveuunce gracieuse, dausceitn spontanéité généreuse dont la fille de Bethuel Et preuve à Pégmi. d’Élieserlui demandant l’hospitalité; noble et précieuse qualité, qui si la plus belle couronne pour le front de la jeune ile. AIF Rachel vous apprendrez le dévouement et fzmeur du anni}, se