67Ãt ncnmzs satisfaction que lui a fait éprouver la distinction accordée au Grand—Rabhin. Nous ne ferons qu`une seule observation : En Allemagne, les gouvernements voient le rétablissement de l'ordre dans la priva- tion de tous les droits accordés dans ces dernier temps, et en particulier de ceux dont jouissaient les israélites. Grâce au ciel il n'en estpas de même dans notre patrie; le gouvernementqui veut être à la hauteur de l'esprit public, le respecte en prouvant qu’il n'a pas ces étroits préjugés, car toutdans ce pays respire la tolé- rance et l’égalité des cultes. Si dans les bas-fonds de la société, si dans quelques localités il règne un esprit contraire, cet esprit est sans écho dans les conseils du gouvernement. S. Caumv. un Emtvn nn n’1icoLn mmnmonn. Nous avons reçu de Marseille la lettre suivante : Marseille, 27 cembre tas:. Monsieur le Rédacteur, La circonscription de Marseille va étre entlu représentée à l'ê· cole centrale rabbinique de Metz. Peut—étre doit-on attribuer à Péloignement de ce collége le manque complet d‘é|èves des communautés du midi; mais cet inconvénient n'a pu arréter la vocation du jeune étudiant, M. Benjamin Mossé, qui va y pren- dre place pour compléter ses études. Le consistoire de Marseille et les israélitos notables du département et de notre circons¤rip· tion ont étêheureux de trouver dans ce jeune homme les dispo- sitions nécessaires pour cette carrière diilîcile; on a su apprécier en lui une intelligence d'élite, uno conduite sage et religieuse, et· surtout une volonté ferme qui lui a fait surmontertous les obsta- cles qui se présentaient à lui. C’est notre noble et vénérable- Grand·Rabbin qui a bien voulu se charger de son instruction et dâ son éducation jus;a'anjonrd’hui; le jeune élève o ·protî·fé` dts Digitized ny Google
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