MELANGES.
COUTUMES TRADITIONNELLES ET USAGES RELIGIEUX.
Règlement somptuaire concernaat les israélien de Francfort-sur-le-Main.
(Suite et fin. Voyez No du 15 décembre p. 661.)
Article seize (`). Le présent qu’un père donne comme parrain à son fils, qui a un nouveau-né (1), n’a de limite que sa volonté. Celui Un frère à sa sœur, et vice versa, ne sera que de la valeur de cinq onces d’argentet pour épices, six thalers (2) ; pour le bain (5),
(’)Note additionnelle artide 15 : Défensed’envoyer aucun comestible Lskeditiee place dnnetees trois semuinesbien des m•lbenrsu·rivhe¤is· nélîtes. Alors Moise ebrisé les deux tables dcle Lei ; fsbriosüon ln ves : dir ; cessbtion Ida sacrifice quotidien ; le livre de le Loi est brûlé ; Mimusé eplscé i nneidole dans le temple ; brèche faite aux murailles de Jérusalem lors du siège feît perTitus.
Pendant les neuf premiers jours d’Ab les strictes obersavteurs ne mangent pas de viande et ne boivent pas de vin, à cause de la destruction des deux temples qui eut lieu à cette époque ; cette défense n’a pas lieu le jour du sabbat qui tombe pendent les neuf jouis.
Comme pendant ce temps les fiancés s’envoyeient mutuellement des friandises, cet article e pour objet de les proscrire.
(I) Pour les naissances des lilles on ne fait rin. Iedis, en bout l’¤n mois, dnjeunesîlles venaient voir Peceoucbée et donnaient nn un à ls nonvellrnée. ll nfye plusde cétémonie udnellement ; lesenfentsreçoiventlenr nom i ls ’mairie, mais i douze ens les jeunes filles font, en temple, profession de leur foi religieuse, comme les garçons L Mge de treize ens. (Test ce qn’on nppelle ls majorité on initiation religieuse.
(2) On donnait i Puccouclsée nn présent sons le nom dïpîeu.
(4) La nuit avent le circoncision on bsignsit l’e¤|’mt, etls msrreine donnait i leprde unponr-boire, sonslent¤d’argasldeba£s. Qand la marraine bai
